1. Sophie


    Datte: 13/08/2021, Catégories: fh, hplusag, Collègues / Travail Oral 69, fsodo, init, Auteur: Bertrand D, Source: Revebebe

    ... Imperceptiblement, il s’enfonce, joue d’avant en arrière. Il ressort, un deuxième doigt vient s’y adjoindre et pénétration reprend, pas très douloureuse. Elle a peur de trop souffrir, alors elle lui dit :
    
    — Dans le tiroir, la vaseline.
    
    Elle a décidé de se sacrifier. Il sort le tube muni d’un embout spécial, l’enfonce à la place des doigts, le presse, répandant la pommade.
    
    — Viens maintenant, doucement.
    
    Saisissant les hanches il présente son sexe face à la cible. Par petits coups il avance, régresse, progressant à chaque fois de quelques millimètres. D’un coup, c’est le cul qui recule et vient absorber le gland. Elle a gémi, s’est immobilisée. Il glisse alors sans à-coup et bientôt elle sent le pubis contre ses fesses.
    
    — Oh, que tu es gros, que j’ai mal ! Ne bouge pas.
    
    Ils restent immobiles, puis c’est elle qui commence à avancer son bassin, à le reculer, très lentement. Pour Pascal, la sensation est extraordinaire. Il ne bouge pas, la laissant s’habituer à cette présence. Elle continue le déplacement, les mains masculines sur les hanches accompagnant le mouvement.
    
    — C’est trop bon, chérie, je vais partir, lui dit-il.
    
    Longuement il se déverse dans les intestins. Puis lentement se retire. Elle s’est écroulée sur le côté, il s’allonge face à elle pour l’embrasser. Le visage est baigné de larmes, le poignet marqué par une morsure pour ne pas crier.
    
    — Comme je regrette de t’avoir tant fait souffrir, je te l’avais dit, tu es trop jeune.
    — Oh non, je ...
    ... suis heureuse de l’avoir fait. Tu m’as tout appris, c’est merveilleux.
    — Tu es une femme formidable, viens, je vais te soigner.
    
    Il l’a prise dans ses bras, l’a portée dans la salle de bains. Dans la baignoire il l’a douchée, savonnée, caressée partout. L’eau ruisselait sur eux, elle s’accrochait à son cou, heureuse au fond d’elle-même de lui avoir offert ce cadeau. Il l’a séchée, bichonnée, ramenée dans son lit, bordée. Elle l’a regardé, a dit :
    
    — Pars, laisse-moi seule.
    
    Il l’a longuement embrassée sur la bouche, puis l’a quittée en silence.
    
    Le lendemain, elle s’est réveillée fatiguée. Pourtant maintenant elle se sent femme. À son arrivée, il l’a longuement embrassée. Puis le travail a repris. Plusieurs fois elle l’a surpris immobile, la regardant tendrement. Maintenant, leur relation a changé. Il y a une grande complicité entre eux. C’est la dernière semaine. Ils ont passé toutes les soirées ensemble, chez elle. Il la cajole, la protège. Ils ont fait l’amour, c’est elle qui choisit ce qu’elle veut lui donner, elle l’a avalé, l’a repris dans son cul. Ça s’est révélé moins douloureux, et même la dernière fois agréable grâce aux caresses sur l’avant. Deux fois, il est resté toute la nuit. Ils travaillent toujours autant, mais quand il passe derrière elle, sa main se glisse sous la robe, caresse ses fesses. Elle apprécie beaucoup ces marques de complicité.
    
    C’est vendredi, dernier jour de congé pour le personnel, dernier jour à être seuls, tous les deux. Le soir il ...