1. L'inconnue du dix-septième étage


    Datte: 21/05/2018, Catégories: fh, inconnu, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, BDSM / Fétichisme délire, bourge, Auteur: Someone Else, Source: Revebebe

    ... malgré tous mes efforts, elle ne jouit pas ! Mon pilonnage en règle dure de longues minutes pendant lesquelles je m’efforce de ne pas faiblir, mais son orgasme continue de me résister…
    
    Totalement à bout de souffle, le cœur au bord de l’apoplexie, la sueur coulant dans mes yeux, je n’en peux plus… Même si – et c’est le moins que l’on puisse dire – je ne manque pas d’encouragements : une femme de l’assistance vient même de sortir un mouchoir de son sac et m’essuie le front, tandis qu’un homme me tend carrément un verre d’eau ! La scène est incroyable…
    
    Et pendant ce temps, à peine essoufflée, la fille continue de me sourire, amusée. À mon avis, les seules consignes qu’elle a dû recevoir devaient être de se laisser faire en toutes circonstances, tâche qu’elle exécute admirablement. Et pour cause : celui qui en bave, c’est moi !
    
    Qu’à cela ne tienne, je n’ai pas dit mon dernier mot. Discrètement – enfin, si l’on peut dire, vu qu’il y aura bien quinze vidéos qui pourront en témoigner – je pose ma main à la hauteur du sexe de ma partenaire et, sans en avoir l’air, écarte légèrement ses lèvres à la hauteur de son bouton d’amour.
    
    J’ai remarqué lorsque je la léchais tout à l’heure à quel point elle était infiniment sensible de cet endroit-là… Et c’est donc tout naturellement que, le pouce délicatement posé sur le petit organe, je reprends mes allées et venues tout au fond de ses reins. Gagné ! Cette fois, bien que je ne la martèle plus avec la même constance, la musique ...
    ... n’est plus la même… Tout au contraire, cette fois, je m’amuse pendant de longues minutes à la garder sur le fil de l’orgasme jusqu’à ce que, totalement épuisée à force de lutter, je la laisse enfin se précipiter dans l’abîme de la jouissance. Son hurlement libérateur doit alors résonner dans tout l’immeuble, des sous-sols jusqu’aux étages supérieurs… Avec, comme de bien entendu, la salve d’applaudissements de l’assistance en délire.
    
    À ce moment précis, deux solutions s’offrent à moi. Soit je me débrouille pour m’astiquer comme je peux et jouir par exemple sur le visage de la blonde, soit je me rhabille tranquillement et je prends la tangente. Après tout, j’ai honoré mon contrat, la fille a tout de même joui deux fois uniquement par le cul ; Maîtresse Clara ne pourra pas prétendre le contraire… Au pire, je pourrais compter sur des dizaines de films et des centaines de clichés !
    
    Seulement, il me semble bien que ma blonde ne l’entende pas de cette oreille. Cette fois, c’est elle qui m’expédie sur le bureau, et je me retrouve bien vite allongé sur le dos tandis qu’elle profite de mon sexe toujours aussi vaillant pour s’empaler dessus, tout en me regardant une fois de plus droit dans les yeux. Bien entendu, elle ne se sert toujours que de la porte de derrière, ce qui ne l’empêche pas de se branler furieusement le clitoris tandis qu’elle monte et descend sur mon dard… Pour le plus grand plaisir des photographes et autres cinéastes en herbe, qui croyaient pourtant le spectacle ...
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