L'inconnue du dix-septième étage
Datte: 21/05/2018,
Catégories:
fh,
inconnu,
Collègues / Travail
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
BDSM / Fétichisme
délire,
bourge,
Auteur: Someone Else, Source: Revebebe
... chatte et l’auriculaire sur son clitoris. La caresse n’est pas vraiment précise, mais elle fait tout de même son petit effet… À tel point que les gémissements de la fille parviennent très vite à couvrir le brouhaha ambiant et qu’au moment où elle part pour une longue, longue jouissance, c’est véritablement un silence de cathédrale qui s’abat soudain sur cette grande pièce.
Seulement, la partie n’est pas finie, il y a d’autres exigences dans le contrat. Pour moi, le plus difficile reste à venir… Mais il semble que cette fois, la fille ait décidé de m’aider. Elle vient de se relever, et cette fois, c’est elle qui m’a poussé quelque peu vers le bureau. Pour moi, pas question de m’y allonger ; mais la façon dont elle vient de me reprendre dans sa bouche laisse sans voix la majorité de l’assistance. Une gorge profonde d’entrée de jeu, ça calme ! Mais ce silence est trompeur, nos spectateurs n’ont pas pour autant perdu le Nord…
La preuve, les téléphones viennent subitement de sortir des poches et des sacs, et l’on dirait bien qu’une bonne partie de notre public a subitement décidé d’immortaliser la scène… Que m’importe : la fille suce tellement bien qu’elle est en train de me faire totalement oublier l’assistance, à tel point que je suis obligé de lui faire lâcher ma queue sans quoi je crois bien qu’elle parviendrait à me faire déborder bien plus vite que prévu.
« Tu ne la feras jouir que par le cul » a-t-il été précisé. Eh bien, dans ce cas, revenons-en aux fondamentaux. ...
... J’attrape la fille par la taille et, vivement mais sans brutalité, l’allonge de nouveau sur le bureau. Nouvelle descente à la cave, nouvelle feuille de rose qui la fait instantanément tanguer, et lorsque je la saisis par les hanches et que je présente ma queue dressée tout contre sa rosette, une bonne dizaine d’apprentis cinéastes sont en train de s’essayer au gros plan…
Alors, dans ce cas, autant ne pas les décevoir… C’est donc avec une infinie lenteur que je m’introduis en elle, et chaque millimètre de ma progression fait l’objet de dizaines de clichés. Pour ma part, j’essaie tant bien que mal de faire abstraction de cette multitude d’yeux posés sur nous, contrairement à la fille qui, elle, s’intéresse bientôt plus à eux qu’à moi. La preuve : elle multiplie les poses, les sourires et les petits signes aux objectifs. J’en suis à souhaiter que personne n’ait l’idée de sortir une feuille de papier, sinon elle en serait sans doute déjà à signer des autographes !
Un tantinet piqué au vif, je décide de passer à la vitesse supérieure.« Tu ne perds rien pour attendre, ma cocotte… » Et c’est ainsi que je commence à la pilonner, tout d’abord doucement, puis de plus en plus vite et de plus en plus fort. Le résultat est très vite probant : elle recommence à gémir doucement, et ses soupirs prennent rapidement une autre ampleur, au point que c’en est désormais fini des risettes aux cameramen amateurs.
Elle crie, elle hurle, elle braille sous chacun de mes coups de boutoir… Mais, ...