1. Première fois, entre collègues de travail


    Datte: 11/08/2021, Catégories: fh, Collègues / Travail poilu(e)s, amour, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme pied, Oral Auteur: Alphecar, Source: Revebebe

    ... de savourer sa cyprine, mais après quelques minutes, je n’y tins plus. Le gland de mon pénis était lui aussi tout luisant, et je le sentais près à exploser. Je me mis debout.
    
    Elle commença à toucher mon sexe, qui n’en pouvait plus de se dresser, et le prit tout de suite à pleines mains. Je ne voulais pas, en tout cas pas cette fois, qu’elle le mette dans sa bouche et je craignis un moment que ce fût son intention. J’étais sur le point de craquer nerveusement et ne trouvai rien d’autre à énoncer que l’éclatante, fantastique évidence.
    
    — Nabiha,… je vais te pénétrer…
    — Oh oui ! Viens !!!… Oh c’est pas vrai !
    
    Et je me couchai sur elle.
    
    Ses mains s’activaient sur mon sexe par des mouvements de bas en haut, tandis que ma langue rencontrait à nouveau la sienne après avoir goûté l’intérieur de sa vulve. Je la sentis soudain se figer et me regarder fixement, avidement, tandis que ses cuisses s’écartaient. Encore un peu, et mon sexe allait s’engouffrer dans le sien. Je voulais encore retarder ce moment, et je m’allongeai cette fois-ci à ses côtés, sans cesser de faire courir mes mains sur son corps, ses seins, son ventre, ses fesses, les poils de son pubis. Mais c’en était trop pour elle : elle poussa mes épaules fermement, de façon à ce que je me mette complètement sur le dos… et elle se mit à califourchon sur moi, le dos droit, assise sur ma verge.
    
    Je sentis le liquide de son sexe s’épandre sur le bas de mon ventre et ses poils me frotter encore un peu plus bas. Tout ...
    ... à coup, sans que je comprenne ce qui se passait, sur un mouvement léger de son bassin, je sentis mon sexe s’enfoncer dans les profondeurs de son vagin et je l’entendis crier mon nom comme si elle était surprise elle-même, ou comme pour m’interroger et jamais je n’avais vu ses yeux aussi grands. Et pourtant, ce fut très posément qu’elle finit par laisser tomber ces mots :
    
    — Oh Xavier, c’est fantastique.
    
    J’eus à cet instant précis la certitude que nous allions jouir tous les deux et que, en ce qui me concerne, ce serait l’un des orgasmes les plus violents de ma vie (j’avais alors 35 ans, Nabiha en avait 29).
    
    Maintenant, elle faisait aller et venir son bassin doucement sur le mien et les sensations que j’éprouvais alors sont quasi indescriptibles. Je regardais les traits de son visage se crisper et la vision de son bassin ondulant sur tous les axes commençait à me rendre fou, à tel point que, pour retarder le moment où j’allais jouir, je cessai un moment de la regarder. Mais elle s’activait sans relâche maintenant, et je sentais son impatience s’accroître aux petits cris de moins en moins étouffés qu’elle poussait, au rythme des mouvements de son corps. Ses épaules aussi ondulaient, la gauche se baissait, puis la droite, puis à nouveau la gauche. J’ouvris à nouveau les yeux et vis les siens se plonger dans les miens.
    
    Elle fit pendant quelques secondes des va-et-vient plus lents, en penchant légèrement la tête de côté, tout en me regardant dans les yeux, rejetant vers ...