1. Première fois, entre collègues de travail


    Datte: 11/08/2021, Catégories: fh, Collègues / Travail poilu(e)s, amour, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme pied, Oral Auteur: Alphecar, Source: Revebebe

    ... l’arrière les cheveux qui lui tombaient sur le visage, avec un demi-sourire et un air attendri. Puis, comme je lui montrai par un gémissement que ce qu’elle était en train de faire me faisait souffrir de plaisir, elle reprit de plus belle les mouvements de son bassin, en tournant le visage de droite et de gauche.
    
    Je pris ses deux seins dans mes mains, les caressant, puis finissant par les malaxer.
    
    Les ondulations de Nabiha étaient maintenant frénétiques et je sus que pour elle, le paroxysme était imminent. Je m’efforçai de penser à nous deux au boulot, en train d’échanger des paroles non compromettantes, devant tous les autres du bureau, puis à nouveau, je la regardai en train de devenir folle elle aussi, ou tout comme, et je parvenais avec peine à réconcilier ces deux images.
    
    Je finis par sentir le sperme commencer à se frayer un chemin depuis les tréfonds de mon corps et quand les « Oui !!!! » de Nabiha commencèrent à se faire entendre, pour se rapprocher de plus en plus, et finir par monter aussi haut, chez cette jeune femme que je ...
    ... connaissais si discrète et réservée, qu’il n’y eut plus aucun doute sur le fait qu’on les entendait de la rue, je cessai de me retenir et je criai le nom de Nabiha, en restant plusieurs secondes sur la dernière syllabe.
    
    Elle était en train de jouir, et moi aussi. Ce fut l’orgasme quasi simultané le plus fort que j’aie connu à ce jour, et les retentissements, chez Nabiha, se prolongèrent quelques minutes, au cours desquelles elle eut deux répliques, presque de force identique, de son orgasme initial. Elle finit par s’allonger auprès de moi, et nous nous caressâmes de longs moments, avant de nous assoupir.
    
    Quelques heures plus tard, nous étions réveillés, et je lui faisais à nouveau l’amour. Cette fois-ci, j’étais dessus et, encore une fois, je la fis jouir en plongeant mes yeux dans les siens, qui me suppliaient de renouveler son plaisir et de le prolonger indéfiniment. Je lui dis comme j’aimais l’entendre gémir, et elle cria encore plus fort que la première fois. Quant à moi, submergé de plaisir, je sentis les larmes me monter aux yeux. 
«12...78910»