1. Première fois, entre collègues de travail


    Datte: 11/08/2021, Catégories: fh, Collègues / Travail poilu(e)s, amour, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme pied, Oral Auteur: Alphecar, Source: Revebebe

    ... sur mes genoux ! Notre position était maintenant très confortable, et nous étions aussi beaucoup plus assurés dans nos gestes, car toute ambiguïté était désormais levée : quoi qu’il arrive désormais, nous ne serions plus jamais deux simples collègues qui s’entendent très bien.
    
    Pour la première fois, je sentis à travers son pantalon, le haut de ses cuisses. Souvent, je m’étais demandé comment était Nabiha nue. Difficile à présager, car elle s’habillait sans féminité et sans montrer davantage de peau que celle de ses mains, de son visage et du haut de sa poitrine. Ses jambes étaient plutôt petites, sans que cela nuise cependant à sa silhouette. Ses hanches étaient larges, mais sans excès : elle était en fin de compte tout à fait normale et sans que je puisse m’expliquer pourquoi, c’était justement cette normalité qui me la faisait désirer comme rarement j’avais désiré une femme.
    
    Nous nous sommes embrassés pendant cinq minutes au moins avant que je n’ose aventurer mes mains sur son corps. Les siennes étaient nouées autour de mon cou. Sa langue était douce et le goût de sa bouche était toujours aussi frais. Ni l’un ni l’autre n’avions pris de plats épicés chez le chinois et de sa part, c’est un signe que j’avais d’ailleurs interprété en me disant que certainement, elle avait prévu que nous nous embrassions ce soir-là.
    
    Je faisais maintenant bien plus que l’embrasser, d’ailleurs, mes mains, après avoir caressé son dos, s’aventuraient maintenant juste au-dessus de ses ...
    ... seins. Petit à petit, je fis descendre la gauche vers le haut de son sein droit, avec un attouchement léger. Puis, aussitôt qu’elle eût atteint son but, je la remontai vers son cou, comme s’il s’était agi d’une négligence de ma part. Ses mains à elle commencèrent à ébouriffer mes cheveux. Je descendis la mienne un peu plus bas, d’un mouvement cette fois plus lent, ostensiblement réfléchi, et je sentis alors très nettement le téton de son sein droit.
    
    Elle eut comme un petit sursaut et émis un très léger soupir de satisfaction en fermant les yeux. De mon côté, j’eus un choc en sentant ce téton aussi dur et en constatant l’effet que provoquait sur Nabiha l’effleurement de mes doigts, alors même que l’effleurement se faisait à travers le tissu. Non sans une certaine gêne, je sentis mon érection se durcir elle aussi et tenter de se faire une place contre la cuisse de Nabiha. Si elle en avait douté, elle ne pouvait plus ignorer maintenant le désir incroyable que j’avais d’elle. Je ne pensais plus qu’à une chose : comment enlever nos vêtements sans rompre le charme ?
    
    Ce fut elle, cette fois, qui prit l’initiative : écartant ses lèvres des miennes, elle commença, sans me regarder, à déboutonner son chemisier. J’eus conscience que j’allais voir ses seins et le temps sembla s’étirer indéfiniment ; j’avais envie qu’il soit suspendu afin que je goûte le moment dans sa plénitude. D’un autre côté, j’avais clairement à l’esprit que bien d’autres moments encore plus extatiques étaient ...
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