Jeu de l'oie
Datte: 10/08/2021,
Catégories:
h,
fh,
frousses,
inconnu,
Collègues / Travail
gros(ses),
grosseins,
hotel,
amour,
volupté,
Masturbation
entreseins,
Oral
69,
jeu,
aliments,
Humour
Auteur: Olaf, Source: Revebebe
... contre moi. Vos caresses sont aussi douces que je les avais imaginées. Et votre queue est merveilleusement grosse. Vous ne m’en voulez plus pour ma moquerie d’hier soir ?
— Vous le saurez quand je serai arrivé à vous faire fondre…
— C’est fait depuis longtemps. Je suis si impatiente de vous sentir en moi. Je vous voudrais déjà tout au fond, bien excité, prêt à gicler. Vous me faites des trucs pas possibles à chacune de vos caresses, j’adore comme vous me prenez… Ne me faites pas trop attendre…
J’espère mettre toutes les chances de mon côté en posant enfin la pointe de mon membre contre la vulve béante de Judith, de manière à repousser le carré de chocolat diabolique dans son puits d’amour. Peut-être qu’en ajoutant ma chaleur à celle que je fais monter dans son ventre, j’arriverai enfin à le liquéfier.
A chaque coup de boutoir, elle avance perfidement ses fesses contre mes cuisses pour m’attirer plus profondément en elle. J’essaie de me retenir de craquer avant que la dernière miette de chocolat ait fondu dans son puits d’amour. C’est surhumain, tant la vue de ses seins qui ballottent sous mes yeux m’excite, et la pression de ses cuisses contre mes hanches ajoute encore à mon désir d’elle.
Elle n’est d’ailleurs pas en reste et m’encourage de ses soupirs, de mouvements lascifs de ses hanches et de tout son corps. Bon sang que cette femme me fait bander. Il faut pourtant que je me calme, je sens déjà les premières lancées monter du fond de moi. Mes boules sont ...
... tendues au maximum, prêtes à se vider au prochain frottement malencontreux. Je dois même empêcher Judith de poser ses doigts sur mon membre, tant j’ai peur de ne plus pouvoir me retenir d’exploser.
Je mets toute ma volonté et mon ardeur à la caresser, à l’exciter. Elle mouille abondamment, son jus coule sur ma cuisse que j’ai maintenant glissée tout contre sa vulve. Elle se frotte de manière de plus en plus désordonnée sur moi, visiblement prête à jouir elle aussi.
Soudain elle contracte violemment ses cuisses, serre mes mains de toutes ses forces sur son ventre et se laisse aller dans un grand cri de plaisir.
Elle jouit longuement, le corps secoué de soubresauts. Je caresse délicatement les pointes de ses seins pour prolonger le délicieux cataclysme qu’elle est en train de vivre. C’est si beau de la voir sourire en m’utilisant comme objet de plaisir.
Elle s’apaise enfin peu à peu. Avant qu’elle ouvre les yeux, je glisse discrètement un regard sur ses lèvres suintantes de mouille. Rien, pas le moindre début de fonte du chocolat. Seule une eau parfaitement claire s’écoule de sa chatte. C’est à n’y rien comprendre.
Elle ouvre alors les yeux et me regarde reconnaissante. Reconnaissante, mais moqueuse. Par quel sortilège le chocolat arrive-t-il à résister à un tel traitement ? Cette femme est un démon, je hais ses jeux d’amour.
Magnanime, elle se redresse maintenant et me force à m’allonger à sa place. Puis elle engloutit ma queue entre ses lèvres et commence à me ...