Jeu de l'oie
Datte: 10/08/2021,
Catégories:
h,
fh,
frousses,
inconnu,
Collègues / Travail
gros(ses),
grosseins,
hotel,
amour,
volupté,
Masturbation
entreseins,
Oral
69,
jeu,
aliments,
Humour
Auteur: Olaf, Source: Revebebe
Je n’étais pas enthousiasmé du tout à l’idée de devoir participer à ce congrès. Responsable des ventes dans une entreprise d’alimentaire, j’en sais assez sur les techniques de fabrication de nos produits sans avoir besoin de perdre un week-end à écouter des spécialistes distiller leur science. Ce ne fut pas l’avis de mon patron, qui m’imposa le voyage. D’où mon humeur morose en arrivant à l’hôtel où se tenaient les séminaires.
Comme prévu, la journée du samedi fut sans intérêt. Impatient de voir la fin de cette corvée arriver, je m’efforce de tuer le temps en liquidant mon courrier en retard pendant les conférences et en suivant d’un œil distrait ce qui se passe sur la scène. L’émotion fait parfois saillir une jolie croupe ou durcir de jeunes tétons. Toujours ça de pris, à laisser mon esprit divaguer sur ce que j’aurais envie de faire subir à ces ravissantes pointes.
Malheureusement pour moi, celle qui tient le micro en ce moment ne fait pas partie du lot. Sa voix est certes agréable, et sa crinière rousse est impressionnante, mais elle est mal fagotée. Je reconnais à sa décharge que « L’influence du conchage sur l’onctuosité du chocolat : nouvelles techniques pour de nouveaux produits » n’est pas un sujet particulièrement sexy. Elle n’en reste pas moins grosse, et ça, c’est rédhibitoire. À croire qu’elle passe plus de temps à le manger qu’à le fabriquer, son chocolat. Conche-toi toi-même, eh patate !
Je regarde autour de moi pour voir s’il n’y a pas moyen de ...
... m’éclipser discrètement et d’aller boire un verre dans l’exposition. Pas de chance, je suis trop mal placé. En plus, l’oratrice n’arrête pas de me regarder. Un beau regard, d’ailleurs, direct, rieur, qui va bien avec sa voix. Mais quelle tour, grande, large, massive, plantée sur ses fortes jambes.
En vérité, je n’ai jamais aimé, je n’aime pas, et je ne pense pas arriver un jour à aimer les grosses. Pour faire court, j’ai l’impression de ne pas savoir par quel côté les prendre. Et ça m’angoisse. Voilà, c’est dit…
La fin de la première journée arrive enfin. Je consulte mes derniers textos avant de monter dans ma chambre d’hôtel. La conférencière rousse en profite pour m’interpeller au moment où je quitte ma place.
— Qu’est-ce qui vous a crispé le plus, le sujet ou ma manière de le présenter ?
— Euh, non, pas du tout, très bien traité, parfaitement résumé…
— Tout à fait entre nous, moi non plus je n’aime pas le conchage. Quant au tempérage prévu pour demain matin, je ne vous dis pas.
— On vous a imposé la conférence ? Dans quelle entreprise travaillez-vous ?
— Je peux vous inviter pour me faire pardonner ? Le temps de me changer et je suis à vous. On se retrouve à la réception, je vous expliquerai.
Et la voilà qui vogue vers ses appartements, toutes voiles dehors. Pas une seconde elle n’a douté que je puisse accepter. Cela dit, elle n’a pas tort, car même si cela ne m’enchante pas trop d’être vu avec une conquête de ce gabarit, je n’ai rien de mieux à faire de ma ...