Jeu de l'oie
Datte: 10/08/2021,
Catégories:
h,
fh,
frousses,
inconnu,
Collègues / Travail
gros(ses),
grosseins,
hotel,
amour,
volupté,
Masturbation
entreseins,
Oral
69,
jeu,
aliments,
Humour
Auteur: Olaf, Source: Revebebe
... crois que j’ai compris.
— Je voulais m’excuser de m’être un peu moquée de vous. Maintenant c’est moi qui suis punie, je crève d’envie de vous…
— À qui le dites-vous…
— Alors on est tous les deux gros. Sauf que si vous vous laissez faire, je crois pouvoir vous aider.
— Vous voulez mettre la main à la pâte ?
— Surtout y remettre un peu de levain et la pétrir longuement.
— Elle est déjà prête à mettre au four. Je sens votre main glisser de plus en plus vite le long de ma queue, c’est divin.
— Je veux la goûter tout de suite, bien l’enfoncer dans ma bouche. Vous sentez ma langue qui la tète ?
— J’ai des lancées à chaque coup de langue. Et vos mains qui caressent mes boules… Je dois déjà commencer à me retenir.
— Laissez-vous aller, j’ai trop envie de vous sentir craquer. Je vous ai enfoui entre mes seins, vous êtes énorme maintenant, bandé comme un arc. Je serre votre queue dans mon sillon, vous me faites mouiller comme une dingue.
— Il faut arrêter, Judith, j’ai trop envie de vous, de me glisser entre vos cuisses et vous inonder de mon jus.
— Et moi je voudrais vous regarder gicler contre moi, goûter votre sperme sur ma peau.
— Je vois votre fente entrouverte de désir, vos tétons plissés et raidis, je sens vos doigts qui me fouillent partout. Oh oui, juste comme ça, juste un peu plus vite sur ma tige, elle est toute prête maintenant.
— Je pose la pointe de ma langue sur votre gland, lape les gouttes qui perlent, je vais vous déguster jusqu’à la dernière ...
... giclée.
— Mes boules sont plaquées contre mon ventre… Je sens les premières lancées… Je vais me vider… dans votre bouche… trop bon…
— Oh oui, ça n’arrête pas de couler dans ma gorge, encore, donnez-moi tout.
— … (essoufflement et récupération !)
— Merci, quel merveilleux compliment, je n’imaginais pas vous avoir fait cet effet.
— Vous m’avez ensorcelé, Judith, et le manque de vous me taraude vraiment. Laissez-moi vous rejoindre. Où est le dé ?
— Plus ce soir ! Donnons-nous un peu de temps. Il y a encore beaucoup de conférences à suivre demain, bonne nuit !
Dimanche matin, le séminaire est encore plus morne que le samedi. Et pour couronner le tout, aucune Judith en vue. Elle va sûrement arriver à la dernière minute. Je l’imagine encore dans son lit, ou sous sa douche, en train de se caresser pour effacer ce que notre téléphone à fait naître dans son ventre.
Mon esprit vagabonde immédiatement sur son corps opulent, que j’ai désiré si violemment la nuit passée. Ça y est, ça recommence, je bande de nouveau comme un adolescent dès que j’imagine sa hanche contre la mienne, sa main chaude contre mes doigts, ma queue glissée entre ses seins.
Je me dis qu’en lui écrivant un petit truc marrant, j’ai peut-être une chance de la convaincre de rester avec moi après sa conférence. Je rédige rapidement un billet à la manière de Georges Sand, dans le registre culinaire toutefois, vu le thème du séminaire. Rien de très original, mais je n’ai pas grand-chose de mieux à lui offrir.
Je ...