1. Mère et fille soumises au même Maître Chapitre 5 : Ma progression de soumise (2)


    Datte: 21/05/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Maitre-Guy, Source: Hds

    ... Contracte ta chatte autour de moi puis relâche-la, comme tu l'a fait avec ton cul autour de ma bite.
    
    J'ai été bien trop heureuse de lui obéir immédiatement tout en sentant, comme je l'avais déjà remarqué, une émission de mouille très épaisse, gluante, lubrifier mes intérieurs et se glisser autour de sa grosse bite pour que je l'accueille mieux.
    
    Je crois qu'il faisait exprès de ne pas bouger en moi, il aurait pu aisément me faire lever le long de son sexe puis me lâcher et me faire redescendre pour que je m'empale encore plus profondément ; il commençait à me lever, quand la sonnerie du freezer a interrompu notre étreinte.
    
    Il m'a fait sortir de lui alors que je me régalais déjà à l'idée de jouir une nouvelle fois.
    
    J'étais déçue et il s'en est rendu compte puisqu'il m'a dit :
    
    — Ne t'inquiète pas, tu vas avoir ta dose !... Au fait, as-tu des coupes plutôt que des flûtes ?
    
    — J'ai les deux ! Pourquoi ?
    
    — Tu vas voir ! Va nous chercher deux coupes, j'ouvre la bouteille.
    
    Je me suis dépêchée de lui obéir. Nous nous sommes installés dans la cuisine, il n'a pas voulu que nous nous mettions au salon et il nous a rempli deux coupes.
    
    Il nous a fait mettre debout et il m'a demandé de lui tendre ma coupe. Il a trempé son gros gland dedans et il m'a demandé de me sucer, ce que j'ai fait immédiatement. Je n'aurais jamais cru ça : j'avais l'impression de me conduire comme une pute avec son mec. Il a dit :
    
    — Je trouve que tu mérites une récompense. Viens là ...
    ... !
    
    IL s'est assis et il a désigné son membre déjà raide. Je lui ai tourné le dos et me suis lentement enfoncée sur lui, par ma chatte. Il m'a demandé :
    
    — Ta récompense te plaît ?
    
    Je n'ai pu qu'opiner de la tête ; en même temps, il faisait ressortir mon clitoris avec ses doigts fureteurs mais surtout je me sentais pleine de lui. Nous avons bu la coupe en nous parlant puis il m'a demandé, en caressant mes seins :
    
    — Tu es bien ?
    
    Sans hésiter, lui ai répondu :
    
    — Oui !
    
    — Écoute, Élodie, nous allons finir nos coupes et je vais faire bouillir de l'eau. Les pâtes, c'est à peu près la seule chose que je sache faire dans une cuisine, avec les œufs à la coque. Mais je suis trop bien dans toi, alors tu vas les préparer avec moi.
    
    Il s'est mis debout, m'a pris les jambes derrière l'articulation des genoux et m'a portée ainsi jusqu'à la plaque de cuisson.
    
    Il a posé mes genoux sur le plan de travail et, sans bouger de mon sexe, il a pris une casserole, mis de l'eau dedans, ouvert, sur mes indications, le placard où j'avais laissé un paquet de coquillettes puis attendu que l'eau commence à bouillir. Après les premiers frémissements, il a ajouté du gros sel et nous avons attendu, lui toujours enfoncé dans moi qui coulait comme d'habitude autour de son énorme bite, que les gros bouillons se forment.
    
    Il a versé tout le paquet de coquillettes dans l'eau et a touillé avec une spatule de bois qui était là.
    
    Après une dizaine de minutes, tout était prêt. Il a vidé l'eau puis ...