1. Mère et fille soumises au même Maître Chapitre 5 : Ma progression de soumise (2)


    Datte: 21/05/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Maitre-Guy, Source: Hds

    Il a dû se rendre compte, en voyant mon air ahuri, que je ne comprenais pas de quoi il s'agissait.
    
    Il m'a expliqué :
    
    — Tu es pleine de sperme, aussi bien à l'intérieur qu'à l'extérieur. Avant que tu te lèves, il va falloir que je te récure un peu.
    
    Il a aussitôt procédé à mon « récurage ». Il a mis ses mains partout sur moi et dans moi, il a ramassé son sperme avec ses mains puis il m'a fait lécher ses doigts et les paumes de ses mains.
    
    Au bout d'un certain temps de cette tâche qui m'était très agréable, il m'a aidée à me mettre debout sur le lit, il a bien regardé s'il avait fait correctement son travail puis, visiblement satisfait, il m'a appris :
    
    — Parfait ! C'est dimanche aujourd'hui, alors voilà ce que nous allons faire.
    
    En me disant ça, il m'a fait descendre du lit. Il était encore tout raide.
    
    J'ai fait semblant de perdre l'équilibre et je me suis, en quelque sorte, raccrochée aux branches. Les branches, c'était son énorme bite que j'ai saisie à pleines mains.
    
    Il a souri, certainement pas dupe du tout de ma manœuvre. Il a poursuivi :
    
    — Je te disais donc que c'était dimanche, le premier que nous passons seuls. Nous allons rendre une petite visite à ma cave pour aller chercher une bouteille de champagne.
    
    Comme je me retournais pour aller chercher mes vêtements, il m'a apostrophée :
    
    — Où vas-tu ?
    
    — Ben... je vais mettre une robe !
    
    — Non ! On y va comme ça !
    
    — Mais...
    
    — Tu veux que je fasse rougir tes fesses en te donnant une ...
    ... fessée puis que je te conduise à l'ascenseur avec ma bite dans le cul ? Ne t'inquiète pas, il n'y a personne. Donne-moi tes clés !
    
    Subjuguée par son regard devenu subitement dur, je les ai retirées de la serrure et je les lui ai tendues.
    
    Il les a prises et, sans un mot, a ouvert la porte de mon appartement après avoir pris ses propres clés dans une poche de sa veste. Nous sommes sortis sur le palier et il a claqué ma porte : nous étions nus, dehors.
    
    J'étais morte de honte : et si un voisin nous voyait ? Il n'aurait eu aucun doute sur ce que nous venions de faire. Fort heureusement, sur tout le trajet, nous n'avons vu personne. Il n'empêche que j'ai poussé intérieurement un grand soupir de soulagement lors de notre retour.
    
    Il a posé la bouteille et nos clés sur la console de l'entrée puis s'est tourné vers moi avec un grand sourire :
    
    — C'est bien, Élodie, tu as été très courageuse. Il faut que je te récompense. La bouteille est fraîche mais pas suffisamment, alors je ne vois qu'une chose pour passer le temps.
    
    Je ne me suis pas interrogée longtemps.
    
    Il a mis la bouteille dans le freezer et réglé le temps d'action sur dix minutes. Une fois cela fait, il m'a soulevé par les hanches et m'a fait glisser le long de son corps. En un instant, je me suis retrouvée empalée sur son énormité tout en étant assise sur ses mains. C'est là que je me suis rendue compte que ma chatte trempée l'absorbait sans problème. J'ai un peu gémi puis il m'a glissé à l'oreille :
    
    — ...
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