Fatima, son mari et sa mère. (3)
Datte: 09/08/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: zebre222, Source: Xstory
... bouche sur ma peau pour la goûter avec délice, m’arrachant quelques gémissements, j’ai toujours été très sensible de cette zone érogène.
Elle glissa ensuite sur mon ventre, traçant un sillon de sa langue, j’ai senti ses lèvres venir se poser à l’intérieur de l’une de mes cuisses, alors que ses mains venaient m’écarter doucement les jambes.
Je posais ma tête sur l’oreiller, fermant les yeux, et j’aimerais bien la caresser, moi aussi, mais cette position ne me le permettait pas.
Je sentis son regard sur moi, je n’avais pas l’habitude de me laisser aller à ce point, mais c’était tellement bon, mon bassin ondula à la quête d’en avoir plus encore.
Je sentis son souffle chaud se percuter contre les lèvres de ma chatte déjà humide depuis un bon moment. Elle était très chaude, accueillante, mais je sentis aussi le contraste de froid, alors qu’elle jouait, elle-même, de son souffle, me faisant soupirer de plaisir. J’en voulais tellement plus, mais en même temps, je ne voulais pas que tout ça se finisse.
La pointe de sa langue vint s’insinuer entre mes lèvres, un long gémissement de satisfaction traversa mes lèvres, alors que je me cambrais contre mon gré à la rencontre de cette langue.
Elle la glissa de haut en bas et de bas en haut, dans une lente torture qui me fit perdre la tête.
Je haletais, allant serrer le drap sous moi, alors que je posais mes pieds à plat sur le matelas, en écartant les cuisses davantage.
Sa langue se fit alors plus taquine, allant ...
... plus rapidement sur ma chatte, allant découvrir ma perle gonflée de désir comme jamais, l’aspirer entre ses lèvres, la frôler de ses dents.
Moi, je ne pouvais pas me retenir, je gémissais de plus en plus, ne pouvant retenir les plaintes de plaisir qu’elle créait en moi. On avait oublié, toutes les deux, qu’entre nous et papa, seulement une cloison nous séparait. Je sentis alors un contraste de température, alors qu’elle vint agacer l’entrée de ma chatte du bout de deux doigts frais. J’ai cru que ma chatte pouvait les aspirer d’un coup, tellement l’envie était grande, c’est là que je murmurai : « maman, oui maman », c’est alors que je sentis ses doigts venir s’engouffrer dans ma chatte et ma cyprine l’aidant à pénétrer sans mal, m’arrachant un cri alors que je me cambrai davantage.
Sa langue allait toujours sur mon bouton d’amour avec une gourmandise que je ne croyais pas possible.
Ses doigts s’activaient en moi dans des va-et-vient délicieux, tournant sur eux-mêmes, me fouillant, atteignant même cet endroit qui me faisait râler.
— Maman, je n’en peux plus... !
— Laisse-toi aller !
Mes cris se firent plus forts, plus puissants, j’écartais davantage les cuisses et maman en profita pour insinuer un troisième doigt en moi, aspirant à nouveau mon bouton d’amour, j’avais chaud, j’étais en sueur, l’orgasme me prit de plein fouet avec une puissance que j’avais rarement connue.
Mes muscles se crispèrent et je tremblais violemment de tout mon corps, alors que maman ...