Fatima, son mari et sa mère. (3)
Datte: 09/08/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: zebre222, Source: Xstory
... son regard sur moi, m’arrachant à ce simple contact visuel, un frisson.
— Qu’est-ce qu’il y a, ma fille, tout va bien, tu sembles préoccupée, ma chérie !
Elle n’avait aucune idée de ce qui pouvait me perturber :
— Disons simplement que non, ce n’est rien, maman, ne t’en fais pas !
Elle m’a souri doucement, posant négligemment une main sur la mienne, la chaleur de sa peau me fit frissonner comme si j’étais totalement frigorifiée.
— Tu sais - ma chérie - que tu peux tout me dire, n’oublie pas que je suis ta mère, je te connais très bien, allez, ne sois pas timide !
Maintenant que le sujet était lancé, je n’allai quand même pas reculer.
Je repris d’une voix plus légère, faible, mais déterminée :
— Écoute, maman, j’ai plusieurs envies qui me rongent de l’intérieur, je ne sais pas comment t’expliquer !
Je finis par relever mes yeux sur elle :
— J’ai envie...
— De qui, de ton mari ou de moi ?
Elle me sourit, avant de s’approcher doucement de moi, elle a plongé son regard dans le mien, elle était si près que je sentais son souffle se mêler au mien qui s’était accéléré légèrement.
Elle souriait toujours, ce qui me rassura légèrement, elle vint reposer sa main sur la mienne, ne disant toujours pas un mot, nous fixant un long moment avant qu’elle rapproche son visage du mien.
J’ai eu l’impression de sentir un effleurement, une simple petite douceur sur mes lèvres, comme si elle était assez proche de moi pour frôler mes lèvres.
J’ai cru que ...
... je rêvais, que ce n’était encore qu’une image, elle me souriait toujours, elle ferma les yeux, coupant le contact visuel.
Je sentis la douceur de ses lèvres pour de bon posées sur les miennes, j’avais beau imaginé tant de fois, rien n’avait été si doux.
Je soupirais longuement avant de fermer les yeux à mon tour, retrouvant ma capacité à bouger et répondis à son baiser, n’osant pas la toucher pour le moment.
Elle sembla lire dans mes pensées, alors le baiser se fit légèrement plus passionné, me montrant ainsi qu’elle avait aussi ce désir en elle, je finis par lever une main qui se glissa dans son cou, bougeant un peu sur le lit pour prolonger ce baiser, me collant un peu contre elle, allant timidement à la recherche de sa langue avec la mienne.
C’était si bon, si doux, rien de comparable avec un baiser de mon mari et j’avais l’impression que je pouvais perdre la tête à ce simple contact.
Je sentis alors sa main venir prendre la mienne, la serrant doucement, et à mon plus grand regret, j’ai senti ses lèvres se détacher des miennes.
Sûrement, elle allait me dire qu’on ne pouvait pas faire ça, qu’elle était ma mère et que j’étais sa fille, je sais qu’elle aurait eu raison de le faire, car c’est une erreur impardonnable, mais ce désir qui était en moi chassait la sagesse dans ma tête.
Si elle savait la chaleur qui avait pris place dans mon ventre.
La suite des choses me surprit, elle voulait entrer avec moi sous la couette, on a oublié de penser à papa qui ...