1. La leçon de piano


    Datte: 08/08/2021, Catégories: fh, fplusag, extracon, grosseins, groscul, amour, Oral pénétratio, Auteur: Juliano, Source: Revebebe

    ... habitué à écluser de la bière bon marché. Intimidé, j’évitais au maximum son regard pendant que nous conversions. Nous parlâmes de sport, elle en était très friande : footing, stretching, aquabiking la maintenaient en forme, et quelles formes. Cette femme était voluptueuse, sa bouche était pulpeuse, sa poitrine très généreuse, ses fesses idéalement volumineuses. Elle portait sa petite quarantaine à merveille. Et ce regard scintillant et pénétrant me secouait vertigineusement ; une paire d’yeux qui respirait la sensualité, le désir, l’amour.
    
    Puis, d’un coup, sans crier gare, elle fondit en larmes, de grandes larmes de crocodile. Elle était là, à deux pas de moi, à pleurer sans retenue. J’étais pétrifié, je ne savais que faire, entre deux sanglots, elle me parlait, se confondait en excuses, gênée de craquer comme ça devant moi. Sans y penser, je me rapprochai soudain d’elle, et la pris dans mes bras pour la réconforter.
    
    Elle finit par se calmer, et me raconter qu’elle avait du chagrin à cause de son mari. Elle venait d’apprendre qu’il la trompait. Ce tocard, cette sous-merde, ce ringard, ce bon à rien, ce baltringue, comment osait-il blesser cette magnifique femme ?
    
    Elle avait posé sa tête sur mon épaule. De ma main gauche je lui caressais les cheveux, la joue, et de ma droite, je la tenais tendrement par la taille.
    
    Impossible de me contrôler, de gérer mes émotions, la sentir tout contre moi me faisait bander comme un âne. On pouvait voir la bosse qui déformait mon ...
    ... jean, je n’avais jamais eu une gaule pareille. Et sa main posée sur ma cuisse n’arrangeait rien.
    
    Sa main, qui petit à petit, gagnait du terrain, se rapprochait dangereusement de mon entrejambe. J’avais l’impression d’être en plein rêve, tenir cette femme dans mes bras était tout ce que j’avais toujours désiré. Elle était là, tout contre moi, et ses doigts se baladaient maintenant aux abords de mon membre, flirtaient avec mes parties génitales.
    
    Je n’osais bouger, pétrifié, tétanisé par le désir.
    
    On ne disait plus rien, sa tête reposait toujours sur mon épaule.
    
    Soudain, je crus avoir une hallucination : ses doigts étaient en train de glisser avec une douceur insensée sur mon sexe gonflé, elle les faisait aller et venir tendrement tout le long de ma tige. Ses ongles longs et vernis griffaient tendrement mes boules à travers le jean.
    
    Elle avait relevé un peu la tête, et tout en commençant à me masser généreusement la queue, elle balada le bout de sa langue dans mon cou. J’en eus des frissons incroyables. Je me sentais comme un enfant, pétri de désir mais incapable de faire le moindre geste.
    
    Méthodiquement, lentement, elle défit ma ceinture, et déboutonna mon pantalon. Sa main pressait maintenant fermement mon sexe, elle le jaugeait tout en me mordillant le lobe de l’oreille. Je sentais son souffle chaud, c’était absolument délicieux. Je me laissais embarquer sans bouger, ma main serrant toujours tendrement sa taille.
    
    Elle sortit ma queue du caleçon, et se mit ...