1. La leçon de piano


    Datte: 08/08/2021, Catégories: fh, fplusag, extracon, grosseins, groscul, amour, Oral pénétratio, Auteur: Juliano, Source: Revebebe

    Je vous conter une histoire qui m’est arrivée il y a une vingtaine d’années. Je doute que la femme dont je vais vous parler me lise un jour, mais qui sait, si elle tombe sur ce texte et qu’elle se reconnaît, elle n’a qu’à m’écrire, et j’espère ne pas la décevoir en relatant le passé.
    
    C’était à l’aube de mes vingt et un ans, je faisais des études de musicologie en province, et je donnais des cours de piano durant l’année, histoire de me faire un brin d’argent de poche.
    
    Cette année-là, j’avais en tout et pour tout six élèves à qui j’enseignais les rudiments de l’instrument à domicile. Tous les jeudis, à 18 heures pétantes, je me rendais dans une banlieue cossue de la ville, pour donner un cours à un petit garçon de dix ans. Il vivait avec ses parents dans une vaste maison bourgeoise. Dans le salon trônait un majestueux piano à queue, il y avait pire pour apprendre à jouer.
    
    À chaque fois que sa mère m’ouvrait la porte, j’avais le cœur serré. Sa mère, cette femme magnifique aux formes généreuses et à la classe nonchalante m’hypnotisait. De plus, elle était d’une gentillesse désarmante, ce qui ne gâchait rien.
    
    Soyons honnête, j’avais le béguin pour elle.
    
    Et chaque semaine, le même rituel, elle me faisait entrer, je la suivais dans le long couloir qui menait au salon en reluquant ses formidables fesses. Je donnais le cours à son fils, après quoi elle me proposait une petite collation, et je repartais comme j’étais venu, avec des rêves plein la tête.
    
    Ce jour-là, ...
    ... lorsqu’elle vint m’ouvrir, j’en eus le souffle coupé. Elle revenait du sport, et était vêtue d’un legging blanc qui moulait parfaitement son entrejambe et d’un top qui ne laissait aucun doute sur la lourdeur de ses seins et la générosité de ses tétons. Elle était encore transpirante de ses efforts, et je crus défaillir tellement la vue de ce corps magnifiquement moulé et de ses ondulations me collait une barre douloureuse dans le futal.
    
    Elle ouvrit de grands yeux sur moi, et sembla gênée :
    
    — Oups, j’ai oublié de vous prévenir, mais Rémi est malade, il est alité dans sa chambre à l’étage, je suis navrée de vous avoir fait déplacer pour rien.
    
    Je lui rétorquai que ça n’avait aucune importance. De toute façon, le déplacement valait le détour, j’aurais fait deux mille bornes pour ne serait-ce que pour l’apercevoir dans cette tenue. J’allais tourner les talons pour repartir quand elle me reteint par le bras :
    
    — Attendez, je peux au moins vous offrir quelque chose à boire pour me faire pardonner.
    
    J’acceptai volontiers, et j’étais à deux doigts de faire péter mes boutons de braguette en reluquant son fantastique cul et ses mouvements pour me guider au salon. Ce pétard, je l’aurais suivi au bout du monde, il m’hypnotisait littéralement. J’en avais le frisson, la chair de poule, le vertige.
    
    Nous nous installâmes sur le grand canapé d’angle, chacun à un bout. Elle nous servit une tasse de thé vert. J’étais un peu emprunté en buvant ce breuvage, moi qui étais plutôt ...
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