1. Paris-Brest


    Datte: 08/08/2021, Catégories: fffh, fépilée, magasin, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, champagne, aliments, Humour Auteur: Tithon, Source: Revebebe

    ... place en ligne, prend son appareil et nous flashe à plusieurs reprises.) Pour mon press-book, dit-elle.
    
    Les photos faites, Chocolat se lance.
    
    — Par qui on commence, maintenant ? J’ai un peu faim !
    
    La chaleur a fait fondre le chocolat et les noisettes ont glissé de son pubis à ses lèvres, d’où goutte le chocolat fondu par la chaleur ambiante.
    
    — Chocolat a les couilles qui poussent ! s’exclame Marie.
    
    Elle plonge sur son entrejambe afin d’y gober les noisettes, gratifiant sa vulve d’une léchouille appuyée. Le regard de Chocolat a changé, elle me fixe, s’avance vers moi, lève une jambe enrobée de chocolat, colle sa chatte contre ma queue.
    
    — Enfile-moi en un éclair, foudroie-moi, mon Jupiter à la crème !
    
    Tiens, une littéraire ! Elle se tourne, se met à quatre pattes et me présente son abricot, orchidée rose enserrée de pétales de chocolat ! J’y plonge avec délice et embarras, car la paroi de l’éclair a une certaine épaisseur et le fourrage au café sort par secousses à chaque coup de reins, arrosant les spectatrices. Un éclair qui éjacule du café.
    
    Lili ne perd pas de temps, entreprise par Vanille la Gousse, elle se fait bouffer la framboise, mollement allongée dans sa tartelette, telle une houri des milles et nuits sur son canapé. Marie, pas en reste, s’approche, tourne son cul vers moi. Sa rondelle barbouillée de beurre est une invite irrésistible. Je quitte Chocolat dont les mains semblent collées au sol pour cause de chocolat tiède et de caramel, qui ...
    ... sont le secret de la tenue des choux dans les pièces montées.
    
    Et la pièce montée est en train de s’organiser sous mes yeux. Chocolat dessous, qui suce Marie, enculée jusqu’à la garde, qui attrape la cuisse de Gousse, dont la chatte vide appelle une langue, Lili suit le mouvement, collée à sa tartelette comme une tortue à sa carapace. Elle attrape de justesse le rouleau à pâtisserie et en plante une extrémité dans le cul vacant de Gousse, qui en pousse un cri d’effroi ou de plaisir, tant le geste est inattendu. Ça, c’est la fête de la pâtisserie ! Ça orgasme en tous sens, jus, sperme, crèmes et autres liqueurs coulent et collent à nos corps. J’en perds la tête et la queue, Alouette ! En vrai, je sais plus où elle est, ma bite, dans un con, dans un cul, dans une bouche ? Je suis dans le pétrin ! Le sol est jonché d’éclats et de croûtes des gâteaux et plus glissant que le cul d’une pute un soir de paie derrière la gare du nord. Peu à peu, du tas émerge une Gousse échevelée qui déclare soudainement :
    
    — Aujourd’hui, je me fais mon premier homme !
    
    Elle fonce sur moi, empoigne ma queue ramollie et, dans un effort méritoire et couronné de succès, parvient à me faire rebander. Encouragée par ses copines, d’une bourrade de bûcheron basque, elle me couche sur le dos, en plein dans le reste de croûte de tarte, s’empale sur mon pieu turgescent et se met à remuer du bassin comme si sa vie en dépendait. Marie, qui avait filé dans la pièce voisine, revient avec sa bouteille de ...