1. Paris-Brest


    Datte: 08/08/2021, Catégories: fffh, fépilée, magasin, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, champagne, aliments, Humour Auteur: Tithon, Source: Revebebe

    Marie Lerougegorge a ouvert une pâtisserie au village, c’est Lili qui vient me dire ça, ce midi.
    
    — Tu sais, elle avait pas de travail, alors elle est partie faire une formation et samedi, elle ouvre son magasin. Le soir, on est invité à une petite fête pour l’arroser.
    — Qui, Marie ou le magasin ?
    — Oh toi !
    
    Samedi arrive. L’après-midi Lili m’a rejoint pour finir une clôture, puis après le repas, elle me dit :
    
    — Prévois des habits légers, il fera chaud.
    
    Ah, les phrases sibyllines de Lili !
    
    — Ça veut dire quoi qu’il fera chaud ?
    
    En guise de réponse, Lili soulève sa micro-jupe et me présente son abricot frais épilé.
    
    — Ça !
    
    Le village est à deux pas de la maison et bras dessus bras dessous nous franchissons allégrement cette distance. Lili pousse la porte d’une petite boutique rose et fraîche, lustrée comme un minou. Ding ! ding ! fait la clochette, dedans la pénombre règne. Au fond, une petite lumière guide nos pas vers l’arrière-boutique, où deux formes féminines nous accueillent. Chocolat, grande fille aux yeux bleus, nappée de chocolat, avec des noisettes sur ses seins et son pubis, suivie de Vanille, petite femme, gousse fine enrobée de caramel noir.
    
    Putain de mille dieux ! J’avais jamais vu ça !
    
    — Je t’avais dit de t’habiller léger, me susurre Lili.
    — Ohé ! venez vous habiller ! nous crie Marie depuis le fond de la pièce - son laboratoire, comme ça s’appelle.
    
    Marie, elle fait dans le Paris-brest, avec la crème, le gâteau et le trou qui ...
    ... encadre son trou décoré de spirales de crème fouettée.
    
    — Toi, Milou, je t’ai fait un éclair à taille humaine, déshabille-toi et enfile-toi là-dedans, dit-elle en me montrant un vrai éclair en pâte à choux, entrouvert, tartiné de crème.
    
    Non sans caresses sur mon anatomie, les filles m’emballent en un éclair dans l’éclair et en scellent le bord au chocolat chaud. Seuls mes bras, mes pieds et ma tête dépassent. J’aime bien être emballé par des filles, mais en un éclair, là, ça va trop vite pour moi.
    
    — Lili, à ton tour.
    
    Déjà à poil, la Lili, prête à tout surtout au meilleur, se laisse allonger dans une tartelette en pâte brisée à sa taille, se fait décorer de framboises rutilantes, le tout nappé d’un sirop doré comme du miel qui la fige dans une posture de bacchante alanguie. Du sirop pour les yeux.
    
    — Milou, ça ne va pas, dit Marie, attends, je vais arranger ça.
    
    Elle prend un grand couteau sur le plan de travail et, visant un point certain de mon anatomie, y plante délicatement le couteau. Mamma ! Mes joyeuses !
    
    — Fais pas le con, Milou, un poil à côté et la fête est finie pour toi !
    
    Marie, étirant une petite langue pointue, s’affaire à pratiquer un passage pour ma queue qui ne demandait qu’à prendre l’air. Glissant la main par l’entaille, elle sort mon membre, le lèche pour le débarrasser des miettes, et le relèche pour s’assurer que le travail est bien fait. Satisfaite, elle se recule et contemple son œuvre.
    
    — Allez ! Tous en place ! Photo ! (Elle nous ...
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