Le premier jour
Datte: 21/05/2018,
Catégories:
f,
h,
fh,
Collègues / Travail
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: Hardi7273, Source: Revebebe
... semaines. Veux-tu venir avec moi ? On sera seuls tous les deux et ça te fera du bien.
Je la sentis d’un coup sur la défensive, sans que je sache pourquoi. Je n’allai pas tarder à l’apprendre
— Dis-moi ! Tu n’essaierais pas de monter un plan pour profiter de la situation et me sauter par hasard ?
J’en fus horriblement vexé. Pas un seul instant, je n’y avais pensé. Bien sûr, je la trouvais très belle et elle me plaisait beaucoup, mais pour moi, avoir une aventure voulait dire me donner totalement ! Or, elle avait Joël ! Aussi, ce fut d’un ton très sec, presque plus que je ne l’aurais souhaité que je lui répondis :
— Tu es stupide ! Je ne pensais qu’à te consoler et à éviter que tu ne passes les deux prochaines semaines seule. Si tu n’es pas capable de le comprendre tant pis ! Je pensais t’avoir prouvé que je savais me tenir, mais tu me déçois beaucoup si tu penses cela de moi. Alors, bonsoir et essaie de passer quand même de bonnes vacances.
Et je raccrochai brutalement. À peine 30 secondes plus tard, mon téléphone sonna. J’étais tellement en colère que je ne répondis pas. Elle rappela plusieurs fois !
Vers 23 heures, j’avais fini ma valise, rangé mon appart et je me préparai à aller me coucher car je voulais partir tôt le lendemain quand j’entendis la sonnette retentir. Quand j’ouvris la porte, Aline était là, en pleurs. Je sentis mon cœur se serrer. Déjà que son mec la laissait tomber la veille du départ, en plus, je l’avais rembarrée méchamment au lieu de ...
... la consoler.
— Entre, je te prépare un thé à la bergamote.
J’avais remarqué lors de nos sorties qu’elle semblait aimer cela. Pour ma part, je n’aime pas trop mais comme je m’étais dit que tôt ou tard elle viendrait chez moi, j’en avais acheté. En le préparant, je me demandai soudain comment elle savait où j’habitais, je ne l’avais jamais amenée chez moi, ne lui avais pas donné mon adresse et j’étais sur liste rouge. Quand je le lui amenai, elle semblait un peu calmée.
— Je suis désolé, lui dis-je, je n’aurais pas dû te parler sur ce ton.
— Non, c’est moi. Je n’aurais pas dû douter de toi. Tu m’as toujours soutenue. Mais j’étais dans un tel état. Dis-moi, ça ne risque rien en bas de chez toi ?
— Non pas trop, pourquoi ?
— J’avais préparé mes affaires, elles sont dans mon coffre.
Puis avec un sourire et en rougissant :
— Si ta proposition tient toujours, bien sûr.
— Bien sûr, attends je vais aller les chercher.
En fait, nous sommes descendus tous les deux. Puis je lui ai préparé la chambre d’amis et nous sommes partis nous coucher. Le lendemain, après une bonne douche, je la réveillai en tapant assez fort sur la porte de sa chambre et après que nous ayons chargé ma voiture et qu’elle ait mis la sienne dans mon garage, nous sommes partis. Durant le voyage, je lui demandai soudain :
— Au fait, comment savais-tu où j’habite ?
— Tu oublies que je suis assistante des ressources humaines. J’ai regardé dans ton dossier. Je suis sûre que tu as fait pareil pour ...