1. Le premier jour


    Datte: 21/05/2018, Catégories: f, h, fh, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Hardi7273, Source: Revebebe

    ... relevant que je lui avais redit exactement la phrase qu’elle m’avait dite. Elle défit le bouton de son pantalon, le baissa légèrement et s’asseyant sur une chaise, elle commença à se caresser de telle façon que je ne pouvais rien voir d’autre que sa main qui bougeait. C’est quand son plaisir commença à monter qu’elle me dit d’une voix trouble :
    
    — Tu sais mardi en rentrant, j’étais tellement excitée que je me suis branlée en pensant à toi.
    
    Et comme moi, le mardi précédent, elle connut rapidement un orgasme. Elle resta quelques instants les yeux fermés pour reprendre son souffle puis se rhabilla, ce qu’étonnamment, je trouvais presque aussi érotique. Je ne savais plus trop quoi faire, alors je restai comme cela. Ce fut elle qui se rapprocha et me déposant un petit bisou sur les lèvres, elle me dit :
    
    — Je ne regrette pas d’être venue. J’ai pris un plaisir extraordinaire.
    
    Puis, avec un petit sourire, elle rajouta :
    
    — Promets-moi une chose, attends d’être chez toi ce soir, dans ton lit pour te branler en pensant à mon petit spectacle. Tu verras ce sera meilleur que si tu le fais pressé, ici.
    — Je te le promets.
    
    Et j’ai tenu parole !
    
    *
    
    Le soir en rentrant chez moi, j’étais excité comme tout. Durant tout le trajet en train, ce qui me prenait toujours une heure et quart, une heure et demie, je n’avais pas cessé de penser à ce qui venait de se passer. J’avais toujours dans les yeux la magnifique poitrine d’Aline. Ce qui fit que, à ma grande gêne, les effets ...
    ... s’en firent ressentir. Je passai tout le voyage avec mon attaché-case sur les cuisses. Arrivé à Coulommiers, j’attendis que tout le monde soit levé avant de sortir à mon tour.
    
    Heureusement que c’était le terminus !
    
    Je repris ma voiture et rentrai chez moi.
    
    Je me fis à manger. Mon excitation n’était toujours pas tombée. Alors, pour essayer de me calmer, j’allai prendre un bain. Je me sentis mieux. Puis je pris une serviette et allai me coucher. J’étais toujours aussi excité et j’étais sûr que j’allais connaître un grand plaisir. Je fermai les yeux et je commençai à me caresser, toujours avec la vision des seins d’Aline.
    
    Elle avait raison. D’avoir attendu tout ce temps avait renforcé mon désir de jouir. Alors je me caressai lentement les bourses, me caressant l’anus avec un doigt. Enfin je pris mon sexe en main et me mis à me masturber. Je sentis venir mon plaisir qui fut extraordinaire. J’en avais presque l’impression de faire l’amour avec Aline. À ma grande surprise, cette séance m’avait épuisé et je dormis mieux que je ne l’avais jamais fait depuis qu’Isabelle m’avait quitté.
    
    Le lendemain, Aline vint me voir discrètement dans mon bureau et me demanda avec un petit sourire :
    
    — La soirée a été bonne ?
    
    Je rougis, ce qui la fit rire. Mais ce qui m’a surpris agréablement, c’est que son rire ne fut pas moqueur, mais presque avec de la tendresse.
    
    — Oui !
    — Tu t’es branlé en pensant à moi ?
    — Oui !
    — C’était bon ?
    — Oui ! Très bon !
    
    Elle sembla hésiter ...
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