Un soir après dîner - Histoires de Sexe

Un soir après dîner

... seront comblés, mon cœur… Mais, je trouve que ta bouche a un goût particulier ce soir.
— Grand bête, va !

La Cougar redémarrée en direction de la maison, nous restons silencieux tout un moment… l’un et l’autre, chacun dans ses pensées, ses images… Un quart d’heure plus tard, à mi-chemin, encore sur l’autoroute…

— Ma Biche, tu m’as remercié pour le plaisir que tu as pris mais, moi aussi j’ai eu beaucoup de plaisir en te regardant jouir et « lui » donner du plaisir.

Tout en lui parlant, par habitude, je pose ma main sur sa cuisse, la flatte d’une tendre caresse. Ses jambes se desserrent, je passe entre et remonte jusqu’en haut de ses cuisses.

Quels ne furent pas mon étonnement et ma satisfaction de m’apercevoir qu’elle était encore toute trempée, dégoulinante d’excitation (et le siège, alors ?) et n’avait qu’une seule envie, celle d’être pénétrée, de sentir une verge en elle. De sentir Ma verge et la sentir exploser au fond de son ventre.

Il nous reste douze kilomètres à parcourir. Cela fait bien deux heures que je bande comme cerf. C’en est trop, je ne peux plus attendre, mon sexe est trop raide, trop douloureux. À l’entrée d’un petit hameau, un hangar désaffecté avec une petite cour devant, sur le bord de la départementale… Je gare la voiture là. M est toujours dégoulinante, peut-être encore plus que tout à l’heure. Je ne l’ai jamais sentie aussi mouillée. L’idée envisagée quelques minutes auparavant en est-elle la raison ?

À peine arrêtés, M me dit :

— ...

... Mon cœur, baisse ton siège complètement, je vais te chevaucher comme une Amazone et te donner le plaisir que tu mérites après tant de largesses.
— Je t’adore quand ta chatte est trempée d’excitation. J’aurais, même, aimé pouvoir te prendre dégoulinante, comme elle l’est, de cyprine mais avec en plus le sperme qu’il t’aurait injecté.
— J’y ai pensé, je sais que tu apprécies beaucoup et moi aussi d’ailleurs, j’aime ça. Sentir ta bite repousser, tout au fond de moi, cette liqueur étrangère puis, ensuite, sentir ton éjaculation se mélanger à son foutre. J’ai refusé de me faire prendre malgré l’envie qui me tenaillait le fond du ventre tout simplement parce que c’est toi que je voulais en moi, là comme maintenant. Mais, de toute manière, tu n’aurais pas pu avoir ce plaisir car je lui aurais mis un préservatif… Une autre fois, si l’occasion se représente, tu auras le droit de prendre ma chatte toute glissante du sperme de JL qui m’aura fait jouir.
— Il faut que nous organisions cela rapidement. Enfin, si ça te chante ma Chérie.
— Si ça me chante ? Arrête, rien que d’y penser, je vais commencer à mouiller… Mais dis donc, c’est pas du déjà fait, ça ?

Le dossier baissé, le pantalon aussi, la chemise ôtée. Enfin nus quoi, elle, moi, Nous… quoi ! M se jette sur moi, à califourchon. Sa chatte, trempée comme celle d’une femme fontaine, se pose sur mon pubis, elle coule sur moi et m’inonde. D’un seul trait, M s’empale sur ma bite dressée, douloureuse. Qu’il est doux de pénétrer un ...