Un soir après dîner
Datte: 08/08/2021,
Catégories:
fhh,
couplus,
inconnu,
hépilé,
parking,
caférestau,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
Masturbation
Oral
pénétratio,
init,
couple+h,
Auteur: L'homme de M, Source: Revebebe
Résumé de l’épisode précédent : Lors d’une séance bronzette-câlins dans un bois au bord du lac, nous avons été victimes d’un voyeur. Victimes ? Oui, parce que par sa faute, nous avons éprouvé le besoin de faire une exhibition qui nous a fait connaître, tant à « M » qu’à moi, un Nirvana. La descente dans le besoin de plaisirs continue.
Samedi soir, comme souvent, nous sommes assis à une des bonnes tables de la ville. M, ma compagne que vous connaissez bien maintenant, et moi apprécions de dîner au restaurant pour terminer une semaine harassante.
Pour Elle, bureau, rendez-vous, téléphone, déplacements… son lot quotidien. Pour moi aussi bureau, clients, livraisons, chantiers. Ainsi les soirs de semaine, c’est généralement plateau repas vite fait au lit en regardant la télé, puis dodo, mais bien sûr avant de nous endormir, nous n’oublions pas quelques petits câlins réguliers sur l’oreiller (pas si petits que ça, certaines fois). C’est probablement pour cela que nous apprécions, encore plus, de nous retrouver tranquilles et décontractés, en amoureux, à nous faire servir tels des Pachas.
Après avoir suçoté une petite « Gentiane sur glace », nous adorons déguster un plateau « Royal », des fruits de mer d’une qualité absolue, comme seule « La Taverne de Maître Kanter » est capable d’en servir à Limoges. Les tracasseries de travail, encore présentes dans nos têtes en début de repas, entretiennent notre conversation jusqu’à ce que M me fasse remarquer qu’à la table d’en face, ...
... un couple déguste aussi un « Royal ».
— Quoi d’anormal, ma biche ?
— Rien, sinon que l’homme qui se trouve en face me reluque effrontément.
— Oui, je comprends, tu es choquée, toi qui as horreur de te sentir matée.
— Que tu es bête, tu sais bien que j’adore sentir des regards se porter sur moi, et pas que ceux d’un homme d’ailleurs.
— Je sais, je sais… Cela te rend toute fébrile et même, des fois, ça…
— Tais-toi… Tais-toi… Bon… J’avoue qu’il m’arrive même d’en mouiller un peu ma petite culotte.
— Tu m’as souvent fait constater la chose, discrètement, et ça m’a toujours excité de toucher ta culotte humide, enfin quand tu en portes une.
Pendant que nous devisons, notre vis à vis continue son investigation jusque sous la table, des fois que la pression de ce regard ferait écarter les cuisses de M. Sûr de lui, il me sourit quand il s’aperçoit que j’ai repéré son manège. Je lui rends son sourire pour lui montrer que nous sommes entre personnes civilisées.
— Au fait Chéri, j’ai oublié de te dire, vendredi je déjeunais tranquillement toute seule, au routier à Déols, en pensant à mon rendez-vous de quinze heures et à la façon dont j’arriverais à faire signer son contrat à ma cliente quand, subitement, une jeune femme vient s’asseoir sur la banquette à côté de moi et…
— Dis-moi ma Biche, tu n’as pas les cuisses qui te brûlent ? lui dis-je.
— Non ! Pour l’instant je te parle de ma petite connaissance de vendredi… Le coquin d’en face attendra pour que je lui offre une ...