1. Des perspectives intéressantes


    Datte: 06/08/2021, Catégories: h, fh, fplusag, jeunes, profélève, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation portrait, Auteur: Dhmx721, Source: Revebebe

    ... datait de 1921. À genoux sur le lit, dressée droite, une jeune femme au corps fin dont on ne voyait pas le visage. Les cheveux longs du modèle tombaient jusque sur sa poitrine, masquant le sein gauche et ne laissant apparaître que la moitié de l’autre, dont on distinguait aisément le mamelon dans l’ombre. Sur le reste de son corps, la beauté ne portait qu’une sorte d’étoffe blanche enroulée autour de la taille, masquant tout juste son intimité.
    
    Cherchant à reconnaître les lieux, Marc réfléchit. Il se demandait si son professeur avait pu peindre ici de tels tableaux. Replongeant sur la toile qui n’arrangeait rien à son érection, il imaginait une jeune femme brune se dévêtir et se présenter quasiment nue devant le peintre, dressée à quelques mètres de ce dernier. Comment rester sérieux dans de telles conditions ? Comment ne pas être déboussolé ? Ces femmes étaient-elles des conquêtes – le professeur étant toujours bel homme ?
    
    Marc n’était pas au bout de ses surprises. Le dernier tableau qu’il avait pris était encore plus érotique que les deux précédents. Il représentait deux femmes en train de manger du raisin, dans une position, disons, chaleureuse. Une première jeune femme, intégralement nue, était assise sur un tapis blanc, une corbeille de raisins blancs à ses côtés. Les jambes dépliées, elle avait entre elles une autre jeune beauté, à demi nue, les seins à l’air, allongé sur le sol, la tête posée sur un oreiller placé entre les jambes de la première. Cette dernière ...
    ... était penchée en avant, nourrissant tendrement sa compagne qui fermait les yeux. Marc ne savait laquelle choisir. Celle allongée, avec deux petits seins plats et larges, les tétons dressés ? Ou celle penchée sur elle, les cheveux longs dans le dos, un visage et un cou fin, deux jolies montagnes d’un volume moyen, reposant sur le coussin ?
    
    Tellement surpris et chauffé par tant de beauté, le jeune homme regarda deux fois la signature et la date : mars 1958. Son professeur avait dépeint ces deux merveilleuses créatures l’année précédente. Il avait réussi à avoir deux magnifiques modèles ! Comment avait-il fait ? Encore une fois, il se posa la question de savoir s’il s’agissait de prostituées. Il ne pouvait pas en être autrement.
    
    Fatigué, mais très excité par tout cela, Marc commença à se caresser. Il se leva, vérifia que la porte de sa chambre était bien fermée, puis retira son caleçon. Posant les toiles sur le sol, il s’allongea et éteignit la lumière. Fixant le plafond, il imaginait, tout en se touchant, la belle quadragénaire venir vers lui, puis s’arrêtant, reprendre la scène du tableau.
    
    Le jeune homme, bien que loin d’être introverti, manquait cruellement d’expérience avec les femmes, aussi laissait-il son esprit imaginer les pires folies, les fantasmes les plus inavoués, avec facilité.
    
    La dame descendait les deux bretelles de sa robe, dévoilant deux magnifiques montagnes, un peu volumineuses et grasses, mais terriblement attractives. Un large mamelon rose était ...
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