Merveilleux rêve
Datte: 06/08/2021,
Catégories:
Première fois
Auteur: Accent, Source: Hds
... grosse pierre, se perche et m’appelle. J’avance, ses bras entourent mon cou, sa bouche happe la mienne et elle me démontre qu’une vierge n’a pas besoin d’un long apprentissage pour savoir embrasser le garçon de son choix. Ciel, quel baiser. Bouche fermée contre la mienne, elle écrase ses lèvres tremblantes sous ma moustache, à la recherche de la meilleure position pour éviter la collision des nez. Ses seins s’appuient sur ma poitrine, son visage est presque à hauteur du mien.
Dans ses yeux je lis sa fringale. Alors j’apporte une contribution plus active, je l’étreins, assure son équilibre en la serrant contre moi et j’ouvre mes lèvres, les humecte d’un bref coup de langue avant d’aller introduire la pointe de ma langue entre les siennes. Instinctivement elles s’ouvrent et j’atteins le barrage des dents serrées. En face des miens ses yeux se troublent, ses mains se nouent derrière ma tête, me tirent et la barrière des dents cède le passage.
Je l’embrasse comme un fou, je fouille sa bouche, explore son palais, lutte contre la résistance de sa langue de chatte qui se débat sauvagement. Je ne m’attendais pas à une telle ardeur, ma surprise me pousse à plus d’audace, mes mains se plaquent sur l’enveloppe rose des seins, mes doigts travaillent les chairs souples dans le rempart du soutien-gorge. Marie, la bouche envahie proteste mollement, ne veut pas que nos bouches se désunissent.
La pierre sous ses pieds nous tient heureusement éloignés au niveau du bassin de sorte ...
... que l’érection brutale et spontanée qui trahit mon émotion reste à distance de son ventre désirable. Je continue la lutte des langues, je permets la visite de la sienne derrière mes dents. Elle chatouille mon palais, me fait frissonner. Marie porte une main en protection sur ma poitrine. Je reporte les efforts de mes mains à bout de bras sur ce postérieur délicieux dont j’ai déjà admiré le balancement excitant et je tâte les fesses rebondies mais j’évite de trop la tirer vers moi, pour garder la distance qui dissimule l’état de turgescence de ma verge brûlante.
Mon majeur parcourt la ligne de séparation des deux rondeurs postérieures et déclenche un frisson dans ce corps innocent : Marie réagit aux caresses au quart de tour. Ne pas trop appuyer, elle s’ouvre d’elle-même, je le sens au mouvement des pieds qui s’écartent aux limites de la pierre, pointes plus rapprochées que les talons, donnant un accès plus profond au tranchant de ma main qui remonte le sillon entre des muscles soumis. La salive instantanément se fait plus riche et je parie que ma jeune vierge est en train de tremper sa culotte. Hélas, il est encore trop tôt pour oser le vérifier. Quand, un peu pour conserver cette distance, un peu par curiosité, je glisse ma main gauche sur sa hanche en direction de son ventre et que du nombril deviné je laisse descendre la caresse vers son entrejambe, Marie sursaute, dénoue l’étreinte, pousse des deux mains contre ma poitrine.
- Je t’aime, j’adore ton baiser, je suis ...