1. Merveilleux rêve


    Datte: 06/08/2021, Catégories: Première fois Auteur: Accent, Source: Hds

    En ce temps là,Marie cherchait un cavalier pour l‘accompagner au mariage d’un collègue. Son père en parla sur le chantier. Je lui proposai mes services. Sa fille, je l’avais connue au village avant que son père ne rejoigne la région industrielle où je l’avais suivi pour trouver un travail stable et correctement rémunéré. Célibataire isolé, le dimanche j’étais parfois invité dans cette famille en qualité d’ancien voisin et de collègue de travail. Les liens anciens créaient une solidarité renforcée par ceux du travail fait en commun.
    
    La gamine que j’avais connue se métamorphosait en jolie jeune fille. Elle avait grandi bien sûr, mais elle se formait, des seins avaient gonflé la poitrine jadis plate, les fesses s’étaient musclée et arrondies, la taille s’affinait, le port avait gagné en élégance et quelques artifices habilement dosés rehaussaient l’éclat de ses yeux marron et son inaltérable sourire si précieux pour une vendeuse. Une de ses copines, coiffeuse exerçait ses talents d’apprentie sur une chevelure noire longue et souple.
    
    Ce soir, pour les festivités qui accompagnent le repas de noces, Marie rayonne dans une robe rose qui épouse à merveille les courbes de son jeune corps de femme au seuil de l’âge adulte. À mes yeux elle est la plus belle de cette assemblée. Qu’est-ce que les sept années qui nous séparent ? Elle est curieuse de tout, s’amuse de toutes les histoires qui circulent à table, des plus innocentes aux plus osées. Et dans ces tablées, l’occasion du ...
    ... mariage offre la possibilité de raconter des péripéties nuptiales parfois à la limite de la décence.
    
    Les plus grivoises ont à peine fait rosir le visage encore poupin sous le fard de ma si jolie cavalière. Il est vrai qu’une fille de dix-neuf ans de nos jours est armée pour en entendre de toutes les couleurs. Une seule fois je l’ai vue tiquer, lorsqu’un plaisantin a suggéré que chaque convive de la table raconte sa première fois. Le concours est lancé, deux filles lèvent le doigt pour prendre la parole, trois garçons en profitent pour s’inscrire dans la suite des récits. Je regarde Marie, elle hoche la tête :
    
    - Ils sont fous, on ne raconte pas ces choses du domaine de l’intimité devant un public. Je refuse de raconter ma vie sexuelle.
    
    - Ne t’inquiète pas, personne ne te forcera à raconter ce que tu veux garder pour toi.
    
    Son père m’a dit qu’elle n’a pas de petit ami ; il est certain qu’elle est encore pucelle. Cependant sa réaction me met la puce à l’oreille, me distrait et me fait perdre en partie le fil du récit d’une grande rousse qui glousse de plaisir en étalant les détails scabreux de la perte de sa culotte et de son innocence un premier mai, dans les bois. Elle cueillait du muguet, penchée dans le sous-bois. Elle n’a entendu arriver personne, mais elle a senti des doigts écarter la bande de son string et caresser immédiatement sa vulve. Terrorisée par cette attaque, elle n’a pas osé bouger, a poussé un cri d’effroi.
    
    Son agresseur s’est aussitôt retiré, s’est ...
«1234...»