S'organiser
Datte: 05/08/2021,
Catégories:
fh,
hplusag,
Collègues / Travail
enceinte,
humilié(e),
Oral
69,
fist,
pénétratio,
fdanus,
fouetfesse,
fantastiqu,
Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe
... n’est pas très claire et s’embrouille. Elle finit par s’arrêter. Il lui soumet alors sa note. Elle la prend et entreprend de la lire. Elle a visiblement du mal à se concentrer. Durant ce temps, la secrétaire danse d’un pied sur l’autre. Comme la situation s’éternise, il décide de brusquer les choses :
— Vous devriez étudier cela à tête reposée dans votre bureau. Il n’y a pas urgence.
Anne, à regret, se dirige vers la porte et sort. Il pense qu’avoir un polichinelle dans le tiroir en route lui permet de ne pas succomber, cela le soulage plutôt. La secrétaire quant à elle reste comme statufiée. Elle va pour parler, hésite, lui pose la main sur l’épaule et l’embrasse. Il se recule :
— Vous êtes folle, n’importe qui peut entrer, et ici il n’y pas de porte capitonnée ni de secrétariat pour tenir à distance les visiteurs.
Elle ignore complètement l’interruption et se cramponne. Sans que l’on ait frappé, la porte s’ouvre. Anne entre le regard trouble, elle tremble :
— Monsieur Lemua, veuillez me suivre. J’ai à vous parler.
Il la suit et Valériane emboîte le pas. Arrivée dans le bureau, la directrice ferme la porte derrière Bernard et elle. De nouveau, elle tient un discours peu clair en arpentant la pièce, finit s’approcher de lui, hésite un moment et l’embrasse à pleine bouche. Quand il peut parler, il joue les offusqués :
— Madame la directrice !
Elle lui met la main entre les cuisses :
— Tu en as aussi envie que moi.
Elle l’embrasse de nouveau ...
... fougueusement. La porte s’ouvre alors sur Valériane fébrile. En voyant la scène, elle devient encore plus agitée.
— Alors tu as encore le feu au cul. Hier ne t’a pas suffi.
— Ça va ! Occupe-toi de tes affaires.
— Ce sont mes affaires, car c’est moi qui ai arrangé le coup avec ton mari et qui joue les cerbères à la porte, pendant que tu t’envoies en l’air.
— Tu es jalouse. Je t’ai vue dans son bureau. Tu voudrais bien que ce soit toi. Tu ne penses pas à ton mari maintenant et tu as oublié ce que tu m’as pleurniché la dernière fois.
Il s’ensuit un vif échange entre les deux dames. Elles en viennent presque aux mains dans leur désir de s’accaparer le mâle dont elles ressentent l’appel. Bernard intervient :
— Mesdames, un peu de tenue. Ne vous querellez pas ainsi… ici. On va finir par vous entendre.
Elles se calment un peu. La discussion reprend, mais rapidement elle prend de nouveau une tournure âpre. Il s’interpose de nouveau :
— Ça suffit ! Vous n’allez pas vous crêper le chignon. Je vous sens d’humeur gauloise. Moi aussi, comme Anne l’a constaté. On devrait pouvoir s’arranger tous les trois sans cris ni grincements de dents. Allez, prenez vos affaires et allons à l’hôtel à côté. Téléphonez chez vous pour que l’on ne s’inquiète pas.
Nullement outrées par cette proposition de plan à trois, ces dames ne se perdent pas en discussions. D’un même mouvement, elles y vont. Oubliant leurs bisbilles, elles se mettent d’accord, chacune téléphonant au mari de l’autre pour ...