1. COLLECTION LESBIENNES. La mère supérieure du couvent (4/4)


    Datte: 21/05/2018, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... j’ignore que certains cierges ou bougie ont un autre usage dans ce couvent que de vous éclairer.
    
    Vous croyez que j’ignore que vous êtes des femmes qui vous satisfaites entre vous, vous me prenez vraiment pour un débile, j’ai vécu avant vous, j’ai commencé à entendre l’appel qui a amené mon sacerdoce, j’avais déjà vingt-neuf ans.
    
    • Pardon, monsieur le curé, excusez-moi si j’ai été rude sur mon futur nom de sainte, pardon, de sœur, c’est vrai, j’ai enfreint en partie les règles de chasteté qui doivent régir un couvent.
    
    Je garde pour moi le nom de celle à qui j’ai lavé le dos allant dans sa raie fessière et pénétrant son intimité, elle mouillait énormément, quand elle me l’a demandé.
    
    J’ai léché les chattes de plusieurs de nos sœurs, cela depuis le peu de temps que je suis arrivée.
    
    En ce qui concerne les cierges, monsieur le curé, j’ai vu le cierge que vous voyez devant vous, malgré sa grosseur entrer dans le vagin de cette même sœur, dans le même temps, j’ai découvert la jouissance féminine.
    
    Je sais que d’ici peu, c’est moi qui vais me faire déflorer avec l’un d’eux, mais de diamètre inférieur.
    
    J’oubliais, je suis sortie de ma cellule avec deux de nos sœurs, la nuit pour aller apprendre à nager et la m.
    
    • Mère supérieure, j’ai compris ma fille, vous a puni.
    
    • Je n’ai pas dit que c’était elle, mais si vous pouviez voir mon cul, vous verriez les ravages que la badine a faits, ça aussi je vous le confesse, vais-je allez en enfer monsieur le curé !
    
    • ...
    ... Ah ! Ah ! Ah ! Aaaaah !
    
    J’ai l’impression que le curé a eu une attaque, j’ai dû tuer ce vieil homme avec mes histoires salaces, je sors du confessionnal précipitamment, quand je vois par le rideau ouvert, il a fait sortir sa verge très noueuse et a éjaculé dans l’espace qui lui est réservé.
    
    Le dernier ah ! ponctué d’un dernier jet, arrive sur ma robe, il a encore de beaux restes.
    
    C’est très essoufflé qu’il prononce quelques mots.
    
    • Ma sœur, le très haut, vous pardonne tous vos pêchers, laisser-moi, il faut que j’aille dans la sacristie, je dois me faire pardonner le pécher que je viens de commettre, il faut que je trouve une badine, mon chat à neuf queues est chez-moi.
    
    Allez dire à la mère supérieure que la messe sera retardée d’une demi-heure, j’espère que chaque fois que je vous confesserais, vous aurez la même sincérité que celle que vous m’avez montrée aujourd’hui.
    
    Allez en paix ma sœur.
    
    Pendant les mois qui ont suivi, je lui ai avoué avec fort détail, comment une certaine personne m’avait déniaisé, comment le cierge était devenu de plus en plus gros.
    
    Il est sorti un instant pendant ma confession pour sentir, comme je l’avais fait la fois ou la mère supérieure s’en était servi, ma mouille sur la base du cierge qu’il avait devant lui, c’est avec elle que nous nous le sommes enfilé, chacun à un bout, pour le pousser toujours plus loin en nous.
    
    J’en oublie, à part les vieilles sœurs que nous évitions de risquer qu’elles meurent de plaisir, je suis ...