1. Palingénésie dans la continuité


    Datte: 21/05/2018, Catégories: fh, extracon, piscine, pénétratio, couple+h, Collègues / Travail Auteur: Patrik, Source: Revebebe

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    — Tu sais, du moment que tu me rends heureuse, le fric, c’est secondaire…
    
    Pour toute réponse, je l’embrasse. Mon sexe est à nouveau en pleine forme. Je capture ses fesses sous l’eau pour faire coulisser le magnifique corps de ma maîtresse le long de la verge gonflée à bloc. Ses seins sont écrasés contre ma poitrine, je sens distinctement ses tétons durs sur ma peau mouillée. Elle m’enlace, me pressant encore plus contre elle, étant à deux doigts de m’étrangler complètement, tellement elle serre fort. J’accélère le mouvement ; l’eau chaude, les bulles, son corps offert et humide, cette fièvre qui nous lie, tout ça m’excite furieusement !
    
    — C’est bon, très bon de te baiser de la sorte ! Pourquoi tu m’excites comme ça, petite garce ?
    — Ah oui, je t’excite ?
    — Oui et pas qu’un peu ; et tu le sais très bien, petite garce !
    — Et en plus tu m’insultes ! Tu vas me le payer, petit salopiaud !
    
    Joignant l’acte à la parole, elle griffe consciencieusement mon dos, me procurant des décharges électriques. Je rétorque en la mordant tout en l’embrassant ! Enfiévrés, nos corps s’agitent, fusionnent ! Entre deux baisers et morsures, j’arrive à articuler :
    
    — Petite salope !
    — Gros salopard !
    
    L’instant d’après, n’y pouvant plus, une fois de plus j’ai l’immense plaisir d’inonder sa grotte, la remplissant de mon sperme aussi chaud que le bain tandis qu’elle jouit en même temps que moi. Oh, que c’est bon de pouvoir baiser avec une telle femme ! De plus, dans pareilles ...
    ... circonstances ! Je n’aurais jamais cru qu’un jacuzzi puisse être aussi profitable aux joies du sexe !
    
    J’ai déjà vécu des situations étranges, mais celle que je suis en train de vivre n’est pas usuelle. Je suis en effet en tête-à-tête avec le mari de ma maîtresse. Avouez qu’il y a plus serein comme situation, d’autant qu’il sait pour elle et moi ! Bernard ne prend pas de gants :
    
    — Géraldine m’en avait parlé ; c’est vrai que vous et moi avons quelques points de ressemblance.
    — Oui, il y a un petit quelque chose, en effet.
    — Quelque part, ça me rassure que vous soyez son amant. Vous êtes un peu moi en plus jeune.
    — Ce… c’est une façon de voir…
    — Je suppose que vous êtes au courant de sa petite lubie ? De sa dernière petite lubie ?
    — Laquelle ?
    
    Flegmatiquement, il lâche :
    
    — La polyandrie… deux hommes, une femme.
    — Ah bon ? Elle vous en a parlé ?
    
    Je voudrai être à mille lieues d’ici ! La conversation prend un tour spécial, et je sens les manettes m’échapper. Les mains derrière le dos, droit comme un i, Bernard continue :
    
    — Oui, elle m’en a parlé. Géraldine me dit tout, voyez-vous.
    — Je ne pensais pas que c’était à ce point.
    — Ça vous étonne ?
    — Oui, quand même !
    — J’aime ma femme, à ma façon. Je sais que je ne suis pas toujours de bonne compagnie, car j’en dirige trois à travers le monde, et ça me prend du temps. Je sais aussi qu’elle a le sang chaud ; je lui sais gré de m’être restée fidèle si longtemps alors qu’elle a eu un nombre incalculable d’occasions. ...
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