1. Palingénésie dans la continuité


    Datte: 21/05/2018, Catégories: fh, extracon, piscine, pénétratio, couple+h, Collègues / Travail Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... extirpant mon sexe de sa grotte. Ayant une petite idée de la suite, je m’avance un peu dans le jacuzzi. J’ai à peine le temps de l’admirer toute nue, d’avoir sous mon nez son mignon moelleux qu’elle se retourne, me présentant sa chatte luisante, pour venir s’asseoir à nouveau sur moi, torse contre poitrine. Impudiquement, juste avant, elle capture entre ses doigts agiles et décidés mon mandrin toujours bien en forme et le dirige sans complexe à l’orée de sa chatte. Celui-ci entre en elle sans difficulté, comme à chaque fois. Elle remue du bassin pour mieux me sentir, tout me fixant dans les yeux :
    
    — Oh-oh, tu m’intéresses ! Es-tu en train de me dire que j’aurais pu être cette bonne personne ?
    
    Un peu perturbé, je ne réponds pas tout de suite ; je réfléchis calmement à la question. Ma maîtresse s’amuse à frotter ses beaux nichons tout ronds contre mon torse, ce qui n’aide pas trop ma concentration. Géraldine sait parfaitement être une petite garce quand elle veut ! Puis quelques longues secondes plus tard, je finis par avouer :
    
    — Écoute, Géraldine. Pour être franc, oui, tu pourrais être cette personne, mais je n’en mettrais pas ma main à couper. Si je t’avais connue plus tôt, c’est-à-dire avant ton mariage, je pense que je serais entré en concurrence avec ton mari.
    
    Sans cesser de se frotter lascivement contre moi, elle affiche un large sourire :
    
    — Donc je compte quand même pour toi. À moins que tu ne me mentes.
    — Je ne te mens pas. Je ne vois pas ...
    ... l’intérêt.
    — Pourquoi tu n’en vois pas l’intérêt ?
    — En général, un homme ment pour avoir une femme. Or nous sommes déjà amants depuis un certain temps.
    — Pas faux… tu marques un point.
    
    Elle réfléchit un peu avant de rétorquer :
    
    — Mais tu peux me mentir pour me garder…
    — Pas faux… tu marques aussi un point.
    
    Un certain silence s’installe. C’est elle qui le rompt :
    
    — La vie est mal fichue… et la machine à remonter le temps n’existe pas.
    — Non, on doit faire avec la situation présente. Tu es mariée, c’est ainsi.
    — Le divorce existe, tu sais…
    — Tu perdrais beaucoup dans l’histoire. Je ne suis pas à même de te garantir le même train de vie que ton mari.
    — Tu ne gagnes pas autant que lui, c’est vrai, mais si on est heureux tous les deux, c’est tout bon, non ?
    
    J’ai la nette impression d’être à un carrefour. Quelle voie choisir ?
    
    — Es-tu certaine de vouloir abandonner tout ça ? Peut-être que ça ne marchera pas entre nous ; nous ne vivons pas ensemble, nous ne profitons que des bons moments. Peut-être que ça marchera quelques années, et puis plus rien ensuite…
    — En clair, tu ne veux pas.
    — Je n’ai pas dit ça. Ton train de vie aurait été au niveau du mien, ou plus bas, ça ne me gênerait pas. Mais là, c’est quand même quelques étages au-dessus de moi. Et j’ai peur que tu me le reproches plus tard, même inconsciemment. Je pourrais bosser comme un fou pour gagner plein de fric, mais je retomberais alors dans le même travers que ton mari.
    
    Elle pose sa main sur ma joue ...
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