1. Police polissonne (2)


    Datte: 31/07/2021, Catégories: Lesbienne Auteur: Pikatchu, Source: Xstory

    ... !
    
    Katia prend une gorgée d’eau et continue
    
    –– À chaque douche c’était la même chose. Puis elles m’enfoncèrent à chaque fois plus de doigts en me traitant de :« Petite pute ». Ensuite je devais les nettoyer et elles commencèrent à me pisser dans la bouche, j’ai cru que j’allais étouffer ; c’était horrible. Puis la plus balaise des deux me prit par les cheveux et me plaqua la bouche contre le trou du cul de l’autre qui s’était pliée en deux en avant et elle lui a dit : « Pousse ! Et toi la pute, bouffe ! ». J’ai cru mourir elle venait de me chier dans la bouche … J’ai hurlé, elles m’ont lâchée. J’étais morte de trouille, j’ai dégueulé mes tripes et les matonnes sont arrivées en me voyant la tronche pleine de merde elles m’ont demandé ce qu’il s’était passé et j’ai tout raconté, et les deux filles se sont retrouvées au mitard. De retour dans la cellule avec Sylvie, je lui ai demandé :
    
    — Pourquoi tu les as laissées faire ça ?
    
    — T’es vraiment une petite conne ! T’aurais pas dû gueuler, tu sais ce qu’il va se passer quand elles vont sortir du cachot ?
    
    — Non, de toute façon je passe bientôt en jugement alors …
    
    — Alors ? Eh bien, comme après ton procès tu vas revenir ici ; on va t’éclater le cul et la chatte, on va te sortir les boyaux par le trou du cul et tu vas te crever. C’est comme ça qu’on traite les sales putes de blondasse, ici ; tu es morte d’avance ; pauvre conne !
    
    En levant les yeux vers les hommes elle s’aperçoit que la fin de son récit a ...
    ... malheureusement pour elle, fait retomber les ardeurs des trois hommes.
    
    — Voilà vous savez tout, je ne veux pas y retourner ; elles vont m’en faire baver et elles finiront par me faire crever, comme elle m’a dit. Je ne veux pas crever, pas comme ça ; je veux bien mourir, mais proprement. S’il vous plaît Monsieur le commissaire, faites un geste.
    
    — Je ne peux plus rien pour toi ma pauvre fille, le jugement est tombé. Tu peux faire appel pour essayer de faire réduire ta peine ou demander de changer de prison, mais dans ton cas, ça va être très compliqué.
    
    — Il n’y a rien à faire, alors ? répond-elle d’une voix tremblante et les larmes aux yeux.
    
    Brutalement elle éclate en sanglots, son visage change et devient menaçant ; ces larmes qui coulent le long de ses joues sont des larmes de haine et de colère. Ses mains tremblent, alors quand le commissaire lui dit ;
    
    — Je crains que non…
    
    Elle se dit : « Adieu Katia ! » elle avise le coupe-papier posé sur le bureau du commissaire, son plan B, et dit.
    
    — Alors tant pis !
    
    Elle bondit sur le coupe-papier, saisit le JAP à la gorge, le plaque contre le mur et appuie la pointe de l’arme contre la carotide de l’homme.
    
    — Je vais le buter ! hurle-t-elle.
    
    — Non ! hurle l’inspecteur Morard.
    
    — Alors bute-moi, prends ton flingue et descends-moi ou je le pique ! J’te préviens, je n’ai plus rien à perdre ! hurle-t-elle à nouveau.
    
    — Arrête Katia ! Ne fais ça !
    
    Alors, elle lâche le JAP et retourne la pointe de l’arme sa gorge. Si ...
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