La bomba latina
Datte: 31/07/2021,
Catégories:
fh,
piscine,
jardin,
volupté,
Voyeur / Exhib / Nudisme
strip,
Oral
pénétratio,
totalsexe,
occasion,
Auteur: Muchacho, Source: Revebebe
... de valeur sous ces latitudes), propice à une relaxation et au rechargement des batteries, Ellen m’entraîna d’une démarche gracieuse et chaloupée vers la piscine en contrebas. L’eau, quoique chaude, était un brin plus fraîche que l’air ambiant, ce qui eut pour effet de faire instantanément durcir ses tétons. Nous nous trempions, mais très vite elle m’entraîna vers un bord baigné de lumière et m’embrassa fougueusement, sa langue enfichée loin dans ma cavité buccale, dansant avec la mienne et balayant mon palais. Ses lèvres prirent possession des miennes. Ses seins étaient plaqués sur ma poitrine. Au gré des vaguelettes générées par la brise, ma queue bandante frottait son pubis d’un contact alterné. Je l’enserrai de mes bras, lui caressai le dos, descendis vers ses reins, l’attirai plus encore vers moi. Mon sexe verticalement dressé pointait vers son nombril. Elle jouait avec le gland en y décrivant des ronds de son index.
Mutuellement, nous nous palpions les fesses, tantôt délicatement, tantôt plus violemment. J’écartais ses lobes, les resserrais, jouais avec son sexe et son petit trou. Elle gloussait et me triturait les bourses. Je calai la belle contre le mur, elle leva ses deux jambes qui flottaient sur l’eau et me verrouilla le corps. Nous nous éloignions vers le centre du bassin. Seul ses seins et son visage émergeaient, les cheveux posés sur l’eau. Je lui malaxais les seins, jouais avec les tétons érigés, elle cherchait à m’attirer et me demanda de la prendre. Ma ...
... queue à la hauteur de sa chatte n’eut aucun mal à la pénétrer. Les yeux clos, nous nous laissions bercer par l’eau, imbriqués l’un dans l’autre.
Une douce musique de samba venue d’on ne sait où nous parvint aux oreilles. Immédiatement, la bomba entra dans le rythme. Je la tenais par les hanches et l’attirais alternativement le long de ma hampe. Elle appréciait et se cambrait, en tirant sur ses jambes plaquées dans mon dos elle cherchait le plaisir. Elle se redressa, m’enserra le cou, m’embrassa goulûment, mon glaive profondément ancré dans sa chatte. Elle se dressa, se relâcha, la jouissance était proche. Deux ou trois coups à la hussarde et la belle s’envola, dans un cri incontrôlé.
Plus tard dans la soirée, nous prîmes un dîner léger sur la terrasse ; Ellen avait revêtu pour l’occasion un petit top décolleté et très court, dénudant son épaule, couvrant juste sa poitrine et baîllant largement sous ses seins. Elle avait les cheveux complètement ébouriffés, le nombril et le ventre à l’air. Une longue jupe jaune imprimée de tranches d’orange et fendue sur le côté gauche couvrait ses jambes. Elle était pieds nus. En dégustant les tacos, elle continuait à m’exciter, mais je crois que c’est sa façon naturelle d’être. Je bandais mais n’en demanderais pas plus ce soir.
À la fin du repas, elle appela son chauffeur. En l’attendant, elle me donna un dernier baiser appuyé, j’effleurai ses mamelons dressés, lui caressai ses abdominaux et quittai les lieux, ébahi et vidé.
— Buenas ...