La bomba latina
Datte: 31/07/2021,
Catégories:
fh,
piscine,
jardin,
volupté,
Voyeur / Exhib / Nudisme
strip,
Oral
pénétratio,
totalsexe,
occasion,
Auteur: Muchacho, Source: Revebebe
Février à Caracas, tout le monde ne vit que pour et par le carnaval, l’expression de toutes les folies et de tous les excès. La danse, la transe, l’amour, tout est démesuré et source de plaisir.
Au travers d’amis communs j’ai rencontré Ellenita la veille à une soirée de débauche carnavalesque. Tout de suite, j’ai flashé sur elle… À vrai dire, on pourrait flasher ici presque sur toutes les filles.
Après cette soirée aux rythmes latino endiablées, elle m’a donné rendez-vous le lendemain chez elle. Elle habitait une grande hacienda qui domine la ville. Son mari, riche homme d’affaires dans le pétrole, s’était absenté pour plusieurs jours.
Ne cherchez pas une infidélité de circonstance. Ellenita avait conclu un accord avec son homme. Comme femelle latina, elle laissait parler son corps et sortait avec qui elle le souhaitait. Cela « entraînait sa libido », comme elle disait, et les nuits qu’elle partageait avec son mari n’en étaient que plus extrêmes encore. Régulièrement, il l’emmenait à la Barbade pour des retrouvailles intimes. Les deux y trouvaient leur compte.
Ellenita était donc une jeune femme de 30 ans, totalement émancipée, ex-deuxième dauphine de miss Venezuela, qui ne pensait qu’aux plaisirs. Elle était élancée, de longs cheveux foncés savamment ébouriffés, un corps de rêve, une poitrine diabolique.
Je pense que peu de choses sont encore naturelles dans une région où il est courant, comme petit cadeau, de s’offrir quelques jours de « remise en forme » ...
... sous le bistouri du Dr José Alvarez, le « sculpteur » des people locaux. Je ne savais qui admirer, d’Ellenita ou du docteur. Quoiqu’il en soit, le résultat ne pouvait qu’entraîner une érection de circonstance, et ainsi je bandais dur.
Avec la chaleur ambiante, j’avais mis une chemisette colorée partiellement ouverte sur mon torse, un pantalon léger de lin écru, matière que j’adore… sans slip. Il est, dit-on, correct d’afficher ses émotions, et j’en étais un peu gêné.
Je me tenais accoudé à la balustrade de la terrasse en teck, admirant une vue splendide sur la ville. La végétation environnante était luxuriante ; de grands palmiers bruissant dans le souffle des alizés et des fleurs tropicales magnifiques habillaient cet Éden. Une piscine en contrebas complétait l’harmonie du site.
Ellenita apparut en tenue hyper-sexy, la diablesse. Un appel au viol ! Dans une demi-heure je ne serai probablement plus là, me dis-je, car vidé, essoré, jeté, inutile ! Elle était revêtue d’une longue robe blanche, décolletée jusqu’au nombril, fendue sur les deux côtés. Les fesses moulées dans l’écrin, elle virevoltait, perchée sur des escarpins jaunes, son dos également décolleté jusqu’à la naissance de sa raie, le tout sur un corps sublimement cuivré. De larges anneaux comme boucles d’oreille et une chaîne dorée en guise de ceinture complétaient le tableau.
Elle s’approcha de moi, un verre à la main. Ses lèvres faisaient la moue. Nous portâmes un toast. Gonflant la poitrine et levant la ...