Nostalgie pour une serveuse - Histoires de Sexe

Nostalgie pour une serveuse

... remercié autrement… J’enlève quand même mon pantalon et mes chaussettes pour me retrouver en boxer. Je me pose sur le ventre, elle commence à me masser. Elle le fait bien… très bien même, la situation me fait bander vivement. Au bout d’un quart d’heure, vingt minutes de ce traitement inhumain, elle s’arrête et me dit :

— Voilà.

Alors qu’elle s’apprête à descendre du lit, je la retiens. Elle me regarde apparemment sans comprendre.

— J’ai envie d’un câlin, lui dis-je me posant sur son ventre.

Je l’enserre de mes bras(elle m’a dit manquer de câlins, je la prends aux sentiments !). Elle ne dit rien et commence à me caresser les cheveux. Petit à petit, ma tête remonte. Je sens les armatures de son soutien-gorge, sensation qui n’est pas des plus agréables. Je lui dis, elle ne répond pas. Je décide d’enlever son soutien-gorge, on verra bien ! Je mets une main sous son haut.

— Je ne veux pas que tu voies mes seins.
— Je ne veux pas les voir, je veux juste enlever ton soutien-gorge pour être confortablement installé.(mais quel menteur !).

Je lui mets une main dans le soutien-gorge et lui caresse un sein puis je le retire. Je replonge rapidement mes mains sous son haut et lui prends les deux seins à pleines mains. Ils ont l’air plus petits que lorsqu’ils déformaient de manière impressionnante son haut. Je me suis placé derrière elle, et je m’en donne à cœur-joie. Je lui titille les tétons avec mes doigts, les pince, les fais rouler. Je lui masse les seins… je bande ...

... comme un fou… Au bout de dix minutes, un quart d’heure de pelotage avec ses petits soupirs et gémissements en fond sonore, je lui dis que je veux les lécher, tout en lui agaçant les tétons.

— D’accord mais ferme les yeux.
— Quoi ?
— Je ne veux pas que tu voies mes seins. Alors lèche-les, mais sous mon haut.
— Ok, ça marche, dis-je en soupirant bruyamment.

Vraiment bizarre cette fille… Je « plonge » donc sous son haut et me mets à lui lécher les seins tout en les caressant. J’adore lécher les seins. Je fais ça tout le temps à ma copine qui en a de plus gros que Julie mais il n’y a pas que ça de plus gros, c’est pas un reproche que je lui fais à ma copine, les formes c’est excitant. J’y vais tantôt vite, tantôt lentement au gré de ses soupires… elle semble adorer ce traitement. C’est un pur régal pour moi et je ne m’en lasse pas.

Je sors ensuite la tête de son haut, mon boxer toujours enflé.

Je tente le tout pour le tout pour le tout en l’embrassant sur la bouche, dans le cou. Mes mains parcourent de caresses son corps jusqu’aux cuisses et à son entrejambe. Elle me dit d’arrêter et tente de me repousser mollement. Ou bien elle ne veut pas et sa fatigue apparente l’empêche d’être plus dissuasive, ou alors elle veut se faire désirer… Je n’en ai cure et je continue à l’embrasser dans le cou lui caressant les seins, les cuisses, les fesses. Elle me parle de ma copine, de ce qu’elle penserait de ça, me demande si je pense à elle.

— Je ne pense qu’à toi maintenant, ...