1. Cours à domicile


    Datte: 30/07/2021, Catégories: ff, odeurs, intermast, Oral Lesbienne Auteur: Love Doctor, Source: Revebebe

    ... d’implorer sa clémence.
    
    Mais « mon bourreau » n’en avait cure et revint vers mon sexe pour mon plus grand bonheur. Sa langue large sépara mes lèvres pour mieux s’enfoncer dans mon vagin et me laper telle une chienne assoiffée. Nous grognions d’ailleurs comme deux animaux en rut, et je n’avais pas le souvenir de sexe si bestial depuis longtemps. Peut-être avec Alex, au début de notre relation.
    
    Mon bassin allait au-devant de cette bouche qui me rendait folle de désir, mais il me manquait un truc… Un truc bien chaud bien dur qui me prendrait là sur la table.« Oui, une bite… Je veux une bite ! »
    
    Marion dut le sentir, car sans crier gare elle me pénétra de deux doigts qui me firent crier sur-le-champ.
    
    — Ouiiiiiiiiii !
    
    Cambrée, les mains crispées sur la table, je me laissais doigter. Je sentais mon vagin fouillé par une pieuvre aux deux, puis trois appendices agiles tandis que mon anus était à nouveau aspiré par sa bouche gourmande.
    
    Je hoquetais, sentant que la délivrance n’était pas loin, annonciatrice d’un plaisir inconnu jusqu’alors. Marion s’activait de plus belle, pressée aussi de me faire jouir, et trouva LA caresse ultime qui me fit exploser. Elle me pénétra l’anus de son pouce tandis que son autre main presque complète s’agitait frénétiquement dans mon sexe.
    
    Je lâchai alors un long cri qui accompagna les spasmes de mon vagin libérant un flot de cyprine odorante, poissant sa main toujours fichée dans mon sexe vibrant de plaisir. Marion la laissa en ...
    ... place, me laissant le temps de retrouver mon calme après ce violent orgasme.
    
    Je frémis lorsque je sentis Marion se retirer, permettant ainsi à mon corps de reprendre doucement sa forme. Les yeux fermés, je sentis ma maîtresse se pencher vers moi pour un baiser odorant au goût de cyprine mélangée aux effluves plus forts de mon anus. L’attirant vers moi, j’entrepris de la mettre également nue, la débarrassant de ses vêtements superflus et voulus me redresser pour prendre des initiatives, mais elle m’en empêcha.
    
    — Non, reste comme tu es.
    
    Imaginant ce qu’elle désirait, je tentai de protester.
    
    — Mais la table, ça va craquer !
    
    Elle sourit et me rassura avec un sourire entendu.
    
    — Elle a déjà vu pire !
    
    Je rougis un peu sous l’allusion et me forçai à ne pas imaginer ce dont elle me parlait en reprenant ma position initiale, dans l’attente d’une suite certainement décoiffante. Marion grimpa sur la table et enjamba mon visage pour m’offrir la vue de son sexe qui, à quelques centimètres de mon visage, exhalait une odeur enivrante et attirante.
    
    Les yeux fermés, je profitai de ces sensations avant de saisir ses cuisses pour approcher sa vulve de ma bouche dans une caresse d’abord légère, puis plus appuyée. Marion se cambrait en gémissant, prenant appui sur la table pour mieux s’abandonner.
    
    — Oui… Lèche-moi fort, ma puce.
    
    Je lui obéis d’autant plus facilement que je prenais goût à lui prodiguer cette caresse que la position acrobatique rendait encore plus excitante. ...
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