1. Cours à domicile


    Datte: 30/07/2021, Catégories: ff, odeurs, intermast, Oral Lesbienne Auteur: Love Doctor, Source: Revebebe

    ... n’exige rien de toi, sauf de ne pas me prendre pour une conne.
    — Promis, ajoutai-je juste avant que mon jean glissât à terre, vite rejoint par mon sweat, me laissant vêtue seulement de dessousDim blancs et sages.
    
    Marion ne prit pas le temps de les admirer, car les yeux brillants de désir elle m’enlaça à nouveau pour un baiser on ne peut plus vigoureux. Je gémis sous l’assaut, me laissant guider selon les envies de la belle. Eta priori, la belle avait une idée précise en tête : doucement sans lâcher ma bouche, elle me fit reculer vers ce qui devait être le coin cuisine. Bientôt mes fesses heurtèrent la table sans arrêter ma maîtresse qui me fit allonger sur le plateau froid. Je frissonnai tant à cause de la sensation presque désagréable que par la suite que j’imaginais torride.
    
    Marion, la bouche entrouverte, ne me quittait pas du regard. Les yeux brillants de désir, elle fit glisser lentement ma culotte le long de mes cuisses, mettant à nu mon sexe gonflé. Je frémis, et déjà excitée par cette situation érotique, je défis lentement mon soutien-gorge pour le jeter loin de nous.
    
    Nue, offerte sur la table tel un plat prêt à être dégusté, j’attendais la suite avec gourmandise. Marion me sourit un bref instant avant de plonger sa tête entre mes cuisses, me faisant crier dès le premier contact de sa langue sur mon sexe trempé. Le corps cambré, je me laissais butiner, les yeux fermés. Elle me fouillait avec un appétit témoin de son excitation. Ma maîtresse jouait avec ma ...
    ... vulve, aspirant mes lèvres dans un bruit de succion peu distingué mais affolant au possible, et je sentais mon sexe dégouliner en imaginant son joli visage poissé par mon jus. La belle prenait son temps, alternant ses caresses plus ou moins rapides, plus ou moins fortes, mais toujours si expertes que je l’implorai rapidement de me faire jouir.
    
    Mais Marion n’en faisait qu’à sa tête, me rendant dingue avec sa langue et ses lèvres. Les yeux fermés, je gémissais sans discontinuer, jouant avec mes seins dressés bientôt rougis par mes caresses désordonnées.
    
    Je lâchais une protestation vaine lorsque Marion me fit changer de position.
    
    — Non, pas là…
    
    Mais elle ne m’écouta pas et me replia les cuisses sur le torse, offrant ainsi mon sexe et mon anus à sa gourmandise. Je gémis d’un plaisir à peine mâtiné de honte déplacée et lâchai un cri lorsque sa langue frôla mon petit trou pour un premier contact. Aucun amant ne m’avait jamais fait aimer cette feuille de rose, mais là je fondais déjà en sentant mon orifice sombre palpiter puis s’ouvrir sous la caresse.
    
    Sa langue pointue tournoyait autour de son but secret, déclenchant des ondes qui irradiaient dans tout mon bassin. Je gémissais d’autant plus fort qu’elle s’empara de mes seins dans un même temps, libérant mes mains qui me permirent de me tenir à la table qui couinait. L’anus léché et la poitrine malaxée sans douceur mais avec art, je lâchais des phrases incohérentes, l’implorant d’arrêter puis d’accélérer avant de nouveau ...
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