Super-X - Histoires de Sexe

Super-X

... dans tout ça ? Je suppose que tu m’as pas contacté uniquement pour mes beaux yeux.
— Non, en effet. C’est là que tes talents de pirate entrent en jeu, Loïc. On a vraiment besoin de toi, tu sais !
— Et si je refuse ? Qu’est-ce qui m’empêche de réintégrer mon corps, de balancer quelques affaires dans un sac et de me tirer vite fait ?
— En admettant que tu te fasses pas coffrer en sortant de chez toi, tu irais où ? Tu ne connais rien à la vie de fugitif, t’as personne pour t’aider. Sans un réseau bien organisé comme le nôtre, tu ne t’en sortiras pas.
— C’est ça que tu me proposes ? Faire la sale besogne pour ton groupe, en échange d’une planque quelque part, quand j’aurai tous les flics de France au cul ?
— Si ça marche, on devient des héros. Sinon…
— On finit en taule. Ou pire !
— Bon écoute, Loïc, on a plus le temps. Tu n’as que deux possibilités. Décider de nous aider…
— Ou bien ?
— Je suis désolée. Je ne peux pas te laisser repartir avec toutes ces infos dans le crâne. Si tu parlais, c’en serait fini de ma couverture.
— Attends ! Tu insinues que tu pourrais…
— Te tuer ? Non, jamais de la vie ! Le Min-Proc a tout prévu. Ton simulateur est équipé d’une bombe logique, activable à distance. Si je la déclenche, ça effacera toute cette conversation de ta mémoire. C’est ce qu’ils utilisent, ces enfoirés, quand ils entrent un peu trop brutalement « en interaction » avec un opposant politique.

Elle avait l’air mortellement sérieuse et j’avais idée qu’elle ...

... n’hésiterait pas à exécuter sa menace. Désolée ou pas, une fois que cette bimbo m’aurait siphonné le cerveau, les flics n’auraient plus aucun mal à me cueillir.

— Je n’ai jamais vraiment eu le choix, je suppose. C’est quoi le plan ? Qu’est-ce que je suis censé faire ?

Pour toute réponse, Léa tendit sa main vers mon front. Un truc incroyable se produisit alors. Des instructions détaillées, des noms, des visages, des schémas de bâtiments se mirent à défiler à toute vitesse sous mon crâne. Heureusement, cela ne dura qu’un instant. Plus, et mon cerveau aurait coulé par mes oreilles. Mes yeux papillonnaient, tandis que je me frottais les tempes.

— C’est carrément du suicide ! Tu veux quand même pas que je …
— Du calme, Loïc ! Tu ne crains riens. Je serai à tes côtés, prête à intervenir, fit-elle, en m’enlaçant.

Léa s’était agenouillée devant moi et avait recommencé à me branler.

— C’est le plan le plus foireux dont j’ai jamais entenduuuummmmh…

Je cessai de parler. D’un geste lent et sûr, elle avait décalotté mon gland, puis, sans hésiter, avait englouti mon membre jusqu’à la garde. Elle suçait divinement, utilisant à la perfection sa bouche et ses doigts pour me titiller. Quelques allers et retours entre ses lèvres suffirent à me faire jouir. Je me vidai au fond de sa gorge, avec un long râle. Elle se releva finalement, essuyant quelques gouttes translucides sur son menton.

— C’était bien le moins que je puisse faire pour toi, non ?

Léa jeta un regard trouble à ma ...