Flora (1) - Histoires de Sexe

Flora (1)

... vagin se contracte chaque fois violemment et je geins en continu. Je voudrais que ce moment dure longtemps mais le plaisir qu’il me donne paraît tellement grand que je ne peux plus me retenir. Mon corps échappe une nouvelle fois à mon contrôle et une vague immense de jouissance le traverse de part en part.

— Waouh ! Je, jouiiiiiisssssssss ! OHHHH ! AAAAAHHHH !!! Ouuuiiiiiiiiiii !

Mes cris de plaisir lui font perdre le contrôle de sa queue et il m’empale violemment sur sa bite en claquant son pubis sur le mien. Je viens de comprendre la signification « se faire défoncer le con ! »

Je jouis en continu et en hurlant de plaisir. Il ne me fait plus l’amour, il me baise de toutes ses forces et je participe aussi à cette baise sauvage et sans pitié pour mon jeune corps.

Lui, il doit retrouver sa jeunesse en baisant une minette comme moi. Sans relâche son sexe laboure mon étroit tunnel et un nouvel orgasme efface l’autre.

— Ouiiiii ! Encore ! Ooooohhhhh que c’est boooonnnn. AAAAHHHHhhhhh...

Il reste enfoncé dans mon vagin brûlant, immobile, sauf sa queue qui palpite répondant aux spasmes incontrôlés de mes muscles internes.

Je le vois serrer des dents et je sens qu’il ne va pas pouvoir se retenir aussi longtemps qu’il le voudrait. La pression de ma chatte sur sa bite l’excite beaucoup trop.

Je prends mes seins dans mes mains et je roule mes tétons entre mes doigts. Il ressort lentement son sexe pour éviter le pire, mais de mes deux mains je saisis ses fesses ...

... et je crie :

— Noooonnnnn ! Oooohhhh, nooonn, ne part pas ! Reste encore en moi et donne-moi ton sperme, je ne risque rien !

Il me regarde, la bouche luisante et entrouverte, mes yeux humides qui le supplient :

— Allez, Paul, jouis en moi. Je veux sentir ton sperme !

Son sexe toujours raide contre mon ventre glisse un peu plus bas et je vois sa grosse queue s’enfoncer dans ma petite chatte toute écartelée et dégoulinante de cyprine. Il explose en touchant de son gland l’extrémité de mon vagin et je jouis encore quand je sens son sperme qui frappe mon utérus.

— Aaaahhhhh, ouiiiii, je te sens ! Ouiiiiiiiiii vas-y, encoooore !

Mes gémissements ne s’arrêtent qu’à la fin de sa propre jouissance.

Au-dessus de moi, reprenant son souffle il m’admire comme une icône sacrée et il me dit.

— Mon Dieu que tu es belle ! Ton visage est transfiguré par ta jouissance. Merci ma chérie, merci pour cette jouissance que tu m’as donnée et pour ton corps que tu m’as offert. C’est incroyable, magique !

Des larmes coulent de mes yeux. Des larmes de bonheur et je lui réponds :

— Oooh, Paul, merci aussi ! Je n’ai jamais eu de plaisir de cette sorte. Je n’ai jamais joui aussi fort ! J’ai eu un peu mal au début, mais d’un seul coup la douleur a été remplacée par des vagues de plaisir et je voudrais que ça recommence mille fois ! J’ai l’impression que je n’ai jamais arrêté de jouir. Quand tu frappais le fond de mon ventre, à chaque fois ça déclenchait une sacrée décharge de ...