1. COLLECTION SOUMISE. Je deviens un objet sexuel. Vide couilles (4/13)


    Datte: 29/07/2021, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... qu’il me prenne classiquement par ma chatte.
    
    C’est à ce moment que l’alarme se déclenche.
    
    Malgré mon entre fesse qui me fait mal, je cours jusqu’à la cage m’y cacher.
    
    Je claque la porte sur moi et j’attends !
    
    Combien de temps, difficile de le dire, à un certain moment, je vais pour sortir. Albert a parlé de cage, c’est bien le cas, pas de poignée ou de système pour ouvrir la porte de l’intérieur.
    
    Je tambourine sur la porte, elle est capitonnée, idem pour les murs.
    
    Le sol est recouvert de mousse.
    
    Suis-je tombée sur un serial killer qui va me dépecer, voire me tuer pour me manger ?
    
    Dans cette situation, nue entre quatre murs clos, avec pour seul objet une lampe qui me permet de voir clair, toutes pensées de ce genre sont loin d’être des anecdotes. Combien de personnes disparaissent sans laisser de trace, au cours d’une année ?
    
    Et s’il pour me faire disparaitre, il me mangeait avec ses copains, seuls quelques os resteraient de moi, ils pourront les enterrer après les avoir brûlés.
    
    C’est à ce moment que la porte s’ouvre, je manque de retenue et je hurle.
    
    • Heureusement que ton mari est loin, il aurait pu t’entendre.
    
    • Excuse, je me suis sentie prisonnière, j’ai cru que tu venais me tuer.
    
    • Comme tu y vas, tu es loin d’avoir épuisé tous les plaisirs que notre situation nous procure, nous verrons plus tard.
    
    En attendant, c’était bien Pierre qui revenait, heureusement qu’à la suite de l’alarme, je l’ai vu à quelques centaines de mètres ...
    ... d’ici.
    
    Je suis rentrée dans votre chambre, j’ai balancé tes affaires et ton sac à dos par la fenêtre à l’arrière du chalet.
    
    Je lui ai dit que grâce à mon traitement, ce matin, tu étais partie le rejoindre.
    
    • Et il t’a cru !
    
    • Je suis très persuasif, il avait sa carte d’état-major, nous avons regardé le parcours que tu étais censée faire.
    
    Je l’ai envoyé sur un autre chemin.
    
    S’il arrive jusqu’à ce que les gens d’ici appellent le mur et qu’il se laisse glisser sur le chemin inférieur comme je lui ai expliqué, il lui sera impossible de remonter à l’étage supérieur.
    
    • Qu’est-ce que cela entraînera ?
    
    • Six à sept jours de marche intensive sur une crête avec l’abîme de chaque côté qui le fera atterrir non loin de Chambéry.
    
    • Dans combien de temps serons-nous fixés ?
    
    • Trois quarts d’heure.
    
    Il arrivera au mur, le temps de se laisser glisser sur quarante centimètres et atterrir sur une corniche assez grande pour qu’il prenne le risque, d’ici une heure nous serons fixés.
    
    Une heure après, je me retrouve libre.
    
    Je vais ramasser mes affaires, il y a un placard dans la chambre, ou nous les enfermons.
    
    Il met la clef dans sa poche avant de m’entraîner sur le lit où j’avais baisé avec ce nigaud de Pierre.
    
    Je reçois une décharge de plaisir dix fois, mille fois supérieure, vu la puissance de la bite de mon amant, je peux même aller, jusqu’à dire sans me tromper, seigneur et maître à celle de ce cocu de Pierre.
    
    Je sens qu’après la peur que j’ai ...