1. COLLECTION SOUMISE. Je deviens un objet sexuel. Vide couilles (4/13)


    Datte: 29/07/2021, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    Ce texte est écrit avec Anne, une amie, ce sont ses fantasmes que je mets en forme du mieux que je le peux.
    
    C’est la tête pleine de doute sur mon couple avec Pierre que j’accepte de partir dans un gîte au-dessus d’Aix-les-Bains, point de départ de nombreuses courses en montagne.
    
    Le chalet que nous louons, est propre et fonctionnel, c’est loin d’être le cas d’Albert le proprio, avec sa casquette crade visée sur sa tête.
    
    Pourtant, quand il me regarde fixement, je me sens chamboulée de l’intérieur, à tel point que j’accepte de me faire baiser dans sa grange devant les cages des lapinous nés dans la nuit.
    
    À 58 ans, à deux pas de la retraite, je deviens une salope qui n’hésite pas à sucer la bite de Fred, le plombier d’Albert, dans un spa installé dans sa salle de bain.
    
    Comble de ma dépravation naissante, Albert pourvu d’attribut hors du commun, souhaite que je me promène nue.
    
    J’ai peur que Pierre ne revienne découvrant la chienne que mon amant a faite de moi.
    
    La chienne, oui, car je sens au fond de moi qu’il pourra me prendre là où il veut et surtout quand il veut.
    
    Par chance, la ferme d’Albert possède un système d’alarme sophistiqué pour avertir de la venue de renards vers le poulailler.
    
    Sortis du spa, il me montre une sorte de cage où je peux me réfugier si Pierre où un inconnu entre dans leur champ.
    
    Satisfaite d’avoir une position de replie occasionnellement, je vais avec Fred réparer la douche du chalet, seul point noir de nos débuts de ...
    ... vacances.
    
    Seul point noir, car la chute dans cette douche a entraîné une entorse de ma cheville, m’empêchant de suivre Pierre en montagne.
    
    Grâce au don d’Albert la cheville est "réparée" dans la journée.
    
    Son travail fait, j’essaye la douche, tout fonctionne correctement quand Fred me colle à la paroi en se plaçant derrière moi.
    
    • Dis-moi, Albert t’a déjà sodomisé ?
    
    • Non, pourquoi ?
    
    • Avec son manche de pioche, il t’aurait défoncé, je peux préparer le terrain et t’ouvrir l’anus, tu verras, je sais faire cela bien, tu me diras après « même pas mal. »
    
    À quel niveau de dépravation suis-je tombée en si peu de temps, moi qui m’interrogeais sur mon avenir avec Pierre, au moment de ma retraite.
    
    Je descends les échelons de l’échelle de la perversion à vitesse grand V, voire triple V.
    
    Pour montrer à quel point, j’aime cette perversion, j’écarte ma jambe droite facilitant le passage de ce sexe que je sens déjà sur mes fesses et dont instinctivement, j’ai une envie folle.
    
    Est-ce l’air de la montagne qui fait bouillonner mes sens, moi la femme mariée puis divorcée d’un premier mariage avec un affreux salaud, avant de vivre avec ce benêt de Pierre qui laisse sa copine à la merci de grands subordinateurs ?
    
    Il pousse, son gland se présente, il entre de quelques centimètres.
    
    • Tu me fais mal.
    
    • Douillette, veux-tu que j’appelle Albert ?
    
    Tu aimes quand il te baise avec son démonte pneu, il a dû te faire le coup des petits lapins certainement nés dans la ...
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