1. Trixie - Chapitre 1 : Le vieux fermier


    Datte: 28/07/2021, Catégories: Anal Hardcore, Auteur: Bea-Trixie, Source: xHamster

    ... s’humidifier. Je restais un moment, sans bouger, ainsi offerte à ses regards, mon cœur commençait à battre plus fort dans ma poitrine, ma respiration à s’accélérer .
    
    Rapidement, il tourna les talons et se dirigea vers la porte, qu’il ferma à double tour. Je m’étais pendant ce temps rendu devant l’étal des courgettes, et faisait mine de chercher celles qui me convenaient. Je l’entendis arriver derrière moi, le souffle court. Mon pouls s’accéléra.
    
    Je m’appuyais des deux mains sur la table, et perchée sur mes talons hauts qui affinaient mes jambes gainées de noir, cambrais imperceptiblement les reins, pour faire ressortir ma croupe. Il s’approchait doucement. Depuis l’épisode ou accroupie, je lui avais laissé voir ma chatte, je mouillais énormément, mon sexe était trempé. Je sentis tout à coup les deux mains se poser sur ma taille, enserrant et caressant le pourtour de mon porte-jarretelles à travers ma robe assez fine, puis elles partirent en exploration. Je frissonnais et me raidis… les dés étaient jetés...
    
    Elles palpèrent les dentelles du devant, suivirent les lanières sur l’avant de mes cuisses jusqu’aux attaches et remontèrent lentement. Au passage, il déboutonna le troisième bouton du bas de la robe, et écartant légèrement celle-ci effleura doucement mon pubis du bout des doigts, je frémis.
    
    Elles se posèrent ensuite le long de mes hanches et descendirent à nouveau le long de mes cuisses en suivant les lanières arrières. Je me cambrais un peu plus. Les mains ...
    ... passèrent sous la robe et remontèrent doucement jusqu’à la peau nue au-dessus des bas. Je sentais la rugosité de ses mains calleuses qui me caressaient, ce n'était pas les mains de bureaucrate de mon mari. J’écartais un peu plus les jambes, il commença à relever doucement la robe jusque sur mes reins. Sa main droite passa devant et il me frôla avec lenteur sur toute sa longueur le sexe ruisselant, puis il inséra le majeur à l’intérieur de ma fente humide et commença un va-et-vient, de la main gauche, il déboutonna sa braguette, et sortit son sexe qui était effectivement énorme, même les plus grosses courgettes de l’étal ne souffraient pas de la comparaison. Mais lui tournant le dos, je ne pouvais pas avoir une idée de la grosseur réelle. Il dégrafa sa ceinture et le long de ses jambes frêles, son pantalon tomba sur ses chevilles, il ne portait pas de slip.
    
    Pour lui faciliter les caresses, j’ avais écarté encore plus les jambes et j’étais penchée le buste en avant, la robe toujours en haut de mes reins, qui s’étaient cambrés malgré moi.
    
    La libération de son sexe effectuée, tout en continuant son en va-et-vient, maintenant avec plusieurs doigts à l’intérieur de ma chatte qui ruisselait et s’écartait de plus en plus, il remonta sa main jusqu’au sein gauche, qu’il se mit à caresser à travers le mince tissu. Puis il commença à déboutonner les deux boutons du haut de ma robe, l’écarta lentement et fit sortir mes deux seins. Un gémissement de contentement, s’échappa de mes ...
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