1. Trixie - Chapitre 1 : Le vieux fermier


    Datte: 28/07/2021, Catégories: Anal Hardcore, Auteur: Bea-Trixie, Source: xHamster

    Comme je l'ai déjà écrit, mes amis m’appellent Trixie, c’est le diminutif de mon prénom. Je suis une jeune femme d’environ vingt-sept ans. Blonde, mince, je mesure un mètre soixante-huit. Mes seins ne sont ni trop gros, ni trop petits. J’aime porter des dessous sexy en dentelles. Soutien gorge noir demi-lune, laissant mes seins libres de toute entrave, bas et porte-jarretelles noirs, string. J’ adore le contraste du noir sur la peau blanche. J’aime le sexe, mais mon mari ne me donnant pas trop satisfaction sur ce plan. J’ai donc décidé de faire pas mal d’expériences.
    
    Je m’étais aperçue à plusieurs reprises lorsque j’allais dans une ferme acheter des légumes, que le fermier, un vieil homme de soixante-quinze ans passés était très intéressé surtout lorsque j’avais des tenues sexy. A plusieurs reprises l’énorme bosse qu’il avait sous son pantalon lorsqu’il me couvait des yeux, et qu'il avait aperçu un bout de jarretelle, avait attiré mon attention. Je l’avais même surpris à se caresser discrètement le sexe tout en me regardant.
    
    Il était laid, les cheveux épars et grisonnants, le faciès maigre pas rasé, barré par une moustache. Mais ce jour-là, j’avais décidé de voir ce qu’il voulait vraiment…
    
    Il n’y avait personne sur le parking. Levant les yeux, j’aperçus le vieux bonhomme derrière une fenêtre de son hangar, sûrement alerté par le bruit du moteur de ma voiture. Il n’ouvrait le magasin qu’à partir de 15 heures, il était 13 heures 30, personne ne viendrait me déranger. ...
    ... Je me garais perpendiculairement à cette fenêtre, coupais le moteur.
    
    Le vieux était toujours à m’épier. J’ouvris en grand ma portière, et jetais un regard aux alentours, personne ! Je déboutonnais les deux derniers boutons de ma robe légère, pour que celle-ci s’ouvre jusqu’à la limite des attaches de mon porte-jarretelles. Je pivotais ensuite sur mon siège et me mis face à la fenêtre, les fesses posées sur le bord du fauteuil. M’assurant que le vieil homme me regardait toujours, je me contusionnais sur le siège pour quitter son string, rangeais le triangle de tissu noir dans mon sac tout en laissant mes jambes assez écartées, j’étais sûre que le vieux se tripotait en me regardant, je descendis de la voiture.
    
    Vérifiais dans la vitre de la portière, en me penchant que le haut de ma robe s’entrebâillait suffisamment pour laisser apparaître, mes deux seins soutenus par le demi-soutien-gorge noir. Je fis la moue et déboutonnais le dernier bouton du haut. Une légère brise écarta les pans de ma robe, dévoilant mes bas noirs et les attaches du porte-jarretelles en dentelle noire, ainsi qu’un bout de peau nue au-dessus des bas. Satisfaite de mon examen, je grimpais les cinq marches du hangar et poussais la porte.
    
    Le vieux paysan, m’avait vu arriver et de derrière la fenêtre qui surplombait exactement la voiture, n’avait rien perdu de la scène, il se précipita à ma rencontre, en me souhaitant la bienvenue. Je m’étais aperçue, que j’étais loin de le laisser indifférent sur le ...
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