Divine belle-soeur
Datte: 27/07/2021,
Catégories:
f,
h,
fplusag,
alliance,
cérébral,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Auteur: Rêveur75, Source: Revebebe
... presque vingt-cinq années d’attente ! – qu’il en était drôle ! Françoise éclata de rire en me regardant.
— Éric, oh, Éric, nous sommes fous !
— Françoise, j’ai passé des centaines de moments ainsi, seul, tout nu devant ma glace, ou sur mon lit, ou dans la douche, à me caresser en t’imaginant en train de me regarder. C’est fabuleux… mais c’est si… bizarre ! Tu… tu n’es pas… gênée ? Tu ne veux pas que j’arrête ? Que je me rhabille et parte tout de suite ?
— Non, non, Éric, tu es si beau ainsi, tout nu ou presque… Tu as un corps magnifique, j’y avais rêvé la nuit de ton appel, et parfois encore après des réunions de famille. Mais je ne pensais pas, vraiment pas, qu’un jour je pourrais le voir ainsi, en vrai ! C’est… incroyable !
— Tu es… Françoise, si désirable, si belle… Tu veux… vraiment… que je me…. caresse ?
Elle souriait de façon craquante, et son regard passait de mon visage à mon corps, à tout mon corps. Mes yeux glissaient sur ses chevilles et ses genoux, encore sagement serrés, mais ses mains à plat sur ses cuisses allaient et venaient doucement sur le tissu, le retroussant légèrement. Je voyais apparaître un tout petit peu de la chair nue de la naissance de ses cuisses, et j’adorais !
— Je te regarde, Éric, je te regarde…
Hésitant encore, mais presque plus pour faire durer ce plaisir immense, je remontai doucement une main du canapé à ma cuisse, je glissai doucement sur la peau nue, jusqu’à effleurer mes testicules. Je voyais le regard de Françoise qui ...
... suivait millimètre par millimètre l’avancement de mes doigts, c’était divin. Ma main remontait doucement encore, caressant la base de mon sexe, et puis l’empoignant doucement. Je le redressai pour Françoise, en le serrant très fort dans mon poing. Le gland enfla encore, et devint cramoisi. Je ne pus empêcher un gémissement de m’échapper… Françoise me sourit :
— Ne te fais pas mal, Éric, ne te fais pas mal…
Mon autre main caressait ma cuisse droite, puis jouait avec mes testicules, tandis que je commençais un doux va-et-vient avec ma main gauche. Mon ventre se contractait sous le plaisir, et Françoise soupira plusieurs fois.
Comme dans un rêve, je la vis se redresser, puis laisser son dos glisser doucement vers le dossier. Dans le mouvement, ses genoux s’ouvrirent doucement, légèrement… Elle posa ses épaules sur le dossier, et tendit doucement une de ses jambes, le pied bien à plat sur la moquette, dans sa légère ballerine. Sa cheville était tendue, et mon regard dévorait la peau nue de son mollet, de son genou, de sa cuisse que je découvrais plus haut.
— Tu es si belle, Françoise… J’ai tellement rêvé à tes jambes !
Je me caressais doucement en la regardant, qui me souriait. Ses mains étaient à plat, bien sages, sur le canapé, de part et d’autre de ses jambes. Elle s’était détendue, quasi-allongée aussi en face de moi.
— Éric, Éric… je voudrais te voir… plus nu encore. Ouvre ta chemise, sois nu pour moi !
Je lâchai mon sexe doucement en la regardant. Il ...