Divine belle-soeur
Datte: 27/07/2021,
Catégories:
f,
h,
fplusag,
alliance,
cérébral,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Auteur: Rêveur75, Source: Revebebe
... mon sexe, et mon gland fut déshabillé dans le mouvement, la peau glissant, dévoilant le bout de mon sexe, durci, rougi, luisant… Françoise dit, d’une voix de gorge :
— Oh, Éric, tu es… il est… que tu es… qu’il est beau !
J’hésitai, et d’une voix troublée, le souffle court, je répondis :
— Françoise, c’est vrai ? Tu aimes… ce que tu vois ?
— C’est merveilleux, Éric ! C’est fou, mais merveilleux ! Montre-toi mieux, montre-moi tout ton corps.
J’étais fou de joie, fou d’excitation, le tout mélangé d’un sentiment de culpabilité et de honte, c’était un mélange incroyable qui entourait mon esprit de cercles quasi douloureux, de profondes émotions, soutenues et déformées aussi par un désir physique terrible… Je n’avais jamais, jamais été excité de cette façon-là. Mon cœur battait incroyablement vite, j’avais le souffle court, je voyais mon ventre et ma poitrine se gonfler et se vider extrêmement vite, j’avais les mains moites, les jambes tremblantes…
Ses dernières paroles résonnaient dans mon esprit, et je cherchai son regard… Ses yeux quittèrent mon sexe et vinrent se plonger dans les miens. C’était divin, j’y lus un désir puissant, un mélange de jeu et de chair, de plaisir, et de honte aussi… Elle était rouge, et sa bouche était légèrement plus ouverte…
Je m’adossai plus loin dans le fauteuil, abandonnant mon sexe qui vint battre sur mon ventre, dru, vertical, gorgé de désir. Mes mains se posèrent de part et d’autre de mes hanches sur mon caleçon, et je ...
... soulevai mon bassin en faisant passer l’élastique sous mes fesses. C’était incroyablement impudique, j’étais quasiment allongé sur le dos, mes épaules touchant le dossier, mon ventre, mon pubis soulevés, mon sexe tendu vers l’avant, vers Françoise. Les fesses dépassées, je me suis laissé redescendre sur le bord du canapé, mes mains entraînant mon caleçon sur mes cuisses. Mon Jean’s n’était pas descendu très bas et j’ai forcé doucement, l’entraînant également jusqu’à mes genoux. Une fois mes genoux passés, j’ai fait glisser Jean’s et caleçon sur mes tibias, jusqu’à mes chevilles. Le moment le plus terrible, même si c’était le plus attendu, était là : je devais me redresser ! Plié en deux, j’ai relevé la tête , cherchant le regard de Françoise.
Elle était souriante, attendant visiblement mon geste.
Je me suis redressé doucement, mes genoux s’ouvrant dans le mouvement. Mon dos est venu se reposer doucement dans le dossier, et j’étais nu, des chevilles à la poitrine, les cuisses grandes ouvertes, mon sexe en érection, devant ma belle-sœur tant désirée, à moins d’un mètre de moi… Je vis le regard de Françoise courir sur mes jambes nues, sur mon ventre, sur mon sexe. Elle me dévorait véritablement du regard.
— Oh, Éric, tu es si beau ! Cela faisait si longtemps que je rêvais à ton corps nu comme cela…
J’étais toujours dans cet état de surexcitation quasi insupportable, tellement il était puissant. Je lui souris, et je crois que ce sourire était plein d’un tel soulagement – ...