1. Divine belle-soeur


    Datte: 27/07/2021, Catégories: f, h, fplusag, alliance, cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Auteur: Rêveur75, Source: Revebebe

    ... son canapé, et se ré adossa, sourire éclatant aux lèvres…
    
    — Je suis folle, Éric, je suis folle…
    
    Le spectacle était divin. Pour ses 57 ans, Françoise avait un corps magnifique, aux formes pleines mais à la silhouette très fine. Ses épaules étaient de pures merveilles, et les courbes de ses seins que je dévorais cette fois des yeux sans retenue étaient d’une sensualité imparable. Mon sexe se redressa quasi immédiatement et il était horizontal, oscillant devant mon ventre… tandis que mes doigts se refermaient sur lui à nouveau.
    
    Françoise me regardait, ses mains ayant repris leurs mouvements. Sa main droite caressait le haut de ses cuisses, glissait sur sa culotte, y dessinait parfois un sillon merveilleux. Sa main gauche avait écarté délicatement le rebord du soutien-gorge, et je voyais ses doigts jouer avec la chair pleine de son sein. Elle le tirait, par petits mouvements des doigts, et je vis bientôt le changement de couleur de l’aréole… puis le téton… Un gros téton, très sombre, que je voyais entre ses doigts….
    
    Je respirai profondément, tant l’émotion était grande et palpable dans la pièce.
    
    Françoise était désormais d’un naturel hallucinant, quasiment allongée, en culotte et soutien-gorge sur ce canapé, à moins d’un mètre de moi. Ses doigts avaient dégagé un de ses seins, et je voyais, comme dans un rêve, le globe lourd, tombant légèrement, qui reposait sur le rebord du soutien-gorge. Ses doigts faisaient le tour de son aréole, titillant et agaçant son ...
    ... téton, sans retenue.
    
    Mon regard se gorgeait de sa poitrine ainsi offerte, et puis glissait sur son ventre où son autre main caressait sans retenue son sexe à travers la culotte. Je voyais l’étoffe froissée, humide, qui dessinait les lèvres de son intimité sous le mouvement de ses doigts.
    
    Françoise fermait les yeux souvent, de très brefs instants, et puis les rouvrait en me regardant. Elle passait de mes yeux à mon torse, de mon ventre à mes jambes, je la voyais parfois fixer ma main refermée sur mon sexe durci. Je me caressais doucement, puis plus vite, debout devant ma belle-sœur tant désirée.
    
    — Françoise… Françoise… tu es exactement comme dans les rêves qui m’accompagnent depuis si longtemps…. tu es magnifique… si désirable…
    — Éric, si tu savais… Éric… À la fin de notre conversation téléphonique, il y a quelques années, je t’ai dit tout à l’heure que je…. m’étais caressée aussi… J’avais tellement envie d’être dans tes bras, de caresser ton corps… mais, même dans mes rêves, je ne voulais pas que nous faisions l’irréparable… alors… j’avais imaginé… Éric… que nous faisions… exactement comme maintenant !
    
    Les joues de Françoise étaient roses d’émotion, peut-être un peu de gêne encore, certainement de trouble.
    
    — Ne reste pas debout, viens… à côté de moi, Éric, me dit-elle en se poussant encore un peu vers la droite du canapé.
    
    Elle s’était légèrement redressée, et avait replié sa jambe droite, genou, flanc de la cuisse et flanc du mollet sur le canapé, son adorable ...
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