Divine belle-soeur
Datte: 27/07/2021,
Catégories:
f,
h,
fplusag,
alliance,
cérébral,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Auteur: Rêveur75, Source: Revebebe
... en train de le caresser, presque en train de le masquer, tant la position était dérangeante… Françoise laissa échapper un éclat de rire, en voyant mon air sans doute un peu ridicule…
— Éric, ne reste pas comme ça ! Viens… me dit-elle, en se redressant à son tour, et en décalant ses hanches sur la droite du canapé.
Elle avait relevé son genou sur le canapé pour se déplacer, et sa cuisse gauche était très ouverte désormais, le pied si joli posé de biais sur le rebord du canapé, l’autre jambe toujours allongée… Je me décollai de mon canapé et, un peu gauche, fis un pas, puis deux… Françoise me regardait, et je voyais ses yeux courir sur mes jambes, mes hanches…
— Éric… j’ai eu quelques fois… lorsqu’on se voyait… la tentation de regarder… tes fesses… Et je l’ai fait parfois… Je les ai trouvées… attirantes… à chaque fois… Mais je ne me suis jamais dit… que je pourrais… les voir nues, vraiment, un jour ! me dit-elle avec un grand sourire.
Je m’arrêtai, ne sachant que faire ou que dire, debout, à moins d’un mètre d’elle… Son pied droit était posé sur la moquette, vers moi, à moins de cinquante centimètres de mes propres pieds. Elle rougit délicieusement en me disant
— Allez, Éric… montre-les moi ! Fais le mannequin !
Sa main droite s’était immobilisée sur sa culotte, mais sa main gauche caressait à nouveau ses deux seins sous la robe, dont le décolleté était béant. Je voyais le bout de ses doigts, parfois, qui plongeaient sous le tissu du soutien-gorge, et ...
... allaient profondément chercher sans doute ces tétons dont je rêvais depuis tant d’années. J’avais amorcé un mouvement des pieds, pour commencer à me tourner, et j’étais désormais de trois-quarts vis-à-vis de Françoise. Elle éclata de rire encore une fois.
— Ne t’arrête pas comme ça, Éric !
Je penchai les yeux et vis évidemment qu’elle avait un spectacle plutôt ridicule ! Nu, légèrement de trois-quarts, mes jambes un peu vrillées par la position, mes bras le long du corps, une main sur mon sexe, les épaules un peu tombantes, et le ventre pas vraiment tout plat… je n’avais plus 20 ans !
Je me redressai, rentrant mon ventre, et finis mon demi-tour, le visage tourné, regardant par dessus mon épaule. J’avais contracté mes fesses, et je pense qu’elles devaient être bien dessinées par cet effet musculaire…
— Oh, Éric ! Elles sont… craquantes ! Je le savais, tu as des fesses superbes !
Soudain, je la vis saisir le bord de sa robe retroussée, la remonter sur son buste, et puis tirer dessus, la passer par dessus son visage, ses cheveux. Je voyais, émerveillé, au fur et à mesure, son ventre apparaître, puis, pour la première fois de ma vie, sa poitrine dans son soutien-gorge. Elle avait les bras levés pour retirer la robe, et ses seins étaient majestueux, remplissant complètement les bonnets blancs de son sous-vêtement. Je tournai un peu les épaules pour me remettre de trois-quarts, et l’admirai en train de finir de retirer sa robe. Enfin, elle l’a fit tomber en boule derrière ...