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Garce et ouvrier
Datte: 27/07/2021, Catégories: Anal Voyeur / Exhib / Nudisme Mature, Auteur: BAZOUK1, Source: xHamster
... le personnel ». Ainsi éludais-je le sexuel. Manifestement jalouse, elle fit une scène à ma blonde qui me le rapporta. Ne voulant trop compromettre celle-ci, je décidais de la quitter pour une autre. Le nouveau choix ne déplut pas moins. J'en fis un jeu. Il était trop patent que la furie était jalouse. Je l'observais et réunissait tous les indices de son envie. Outre de rougir dans nos conversations, je remarquais le battement fébrile de son pied dans son escarpin. Enfin gracieux avec elle j'obtins un soir qu’elle écarta subrepticement les cuisses pour que je vis un peu de sa culotte et de la naissance de ses bas. Je me mis un peu dans la tête de me venger et de la sauter. Les travaux s'achevaient. Il ne restait que trois jours. Je marquais résolument qu'elle me plaisait. Je la draguais sans vergogne. Nous discutions plus tard le soir. Mes collègues partaient devant. L'usage de mon scooter me laissant une relative autonomie. Les gens eurent été fort étonnés de nos conversations. Elle souriait se dandinant sur sa chaise. Je remarquais qu'elle avait pour moi outré son maquillage. Je lui balançais : « Vous savez. Vous me plaisez ». Elle ne s'offusqua pas d'une louange si vulgaire. La garce était ferrée. Je sus assez de sa vie qu’elle était malheureuse. Elle avait eu un mari volage. Elle avait pris quelques amants. Un dernier dont elle était tombée follement amoureuse l'avait trahi. Pour se consoler elle ...
... s'était jetée davantage dans le travail. Elle était devenue plus acariâtre ce dont je m’étais aperçu. Le ton sur lequel elle me fit cette confidence nous rapprocha définitivement. Elle me proposa ce soir-là que nous primes un café à quelques rues de là. Elle ne fit pas de manières quand je lui pris la main. Nous en étions au tutoiement. Elle me dit : « T'es un chic type. » Je ne lui en répondis pas moins que j'étais un coureur et macho ce dont elle convint. Nous finîmes dans la voiture. Nous nous embrassâmes. Avec autorité et ployant sa nuque je l'enquis à prendre mon sexe. C'était pour moi un passage obligé : une garce devait me montrer son talent à sucer. Elle réussit haut la main l'examen. Elle me dit avec fierté que ses amants la goûtaient pour cela. Je lui dis qu'elle devrait cultiver les hommes, se lâcher et s'amuser. Je vis qu’elle voulait être prise et foutue sans ménagement. Elle n'avait cure qu'autour des vitres saturées de buée, il y eût quelques passants. Le lendemain midi, rebelote. Je l'enculais direct dans le sous-sol du parking. Elle trouvait excitant qu'à peu de pas pussent passer le directeur ou un autre collègue et qu'ils ne devinassent pas qu’elle se faisait mettre par un mignon ouvrier. Moi-même je trouvais cela excitant. Les filles de son service auraient été surpris des façons de leur supérieure. Celle-ci jouissait sans vergogne émaillant ses gémissements de mots grossiers. Je lui proposais ...