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Garce et ouvrier
Datte: 27/07/2021, Catégories: Anal Voyeur / Exhib / Nudisme Mature, Auteur: BAZOUK1, Source: xHamster
Il est des métiers où l'on se balade et rencontre beaucoup de gens. Je croisais nombre de ces créatures du tertiaire et je ne concevais pas passer toute une journée dans un endroit confiné et avachi derrière un bureau. J'avais le sentiment d'être libre. Toujours en mouvement. Je n'avais cure qu'on moquât mon métier manuel et que j'eus les pognes sales et calleuses. Au contraire je concevais une fierté pour cela. On me voyait bouger , être en sueur. Notamment croisais-je le regard des femmes. Je cultivais à leur égard le côté viril de l'ouvrier. Mes phéromones leur agréaient. Je draguais indifféremment femmes de tout âge, de morphologie ou de style. Le seul critère était qu'elles me fissent bander et que je leur trouva un côté garce et délurée. On avait à cet égard quelque surprise. La dernière fois je tombais sur une chef de service austère et revêche et dont on eut été à mille lieux de deviner les goûts. Mon instinct est à ce propos infaillible. Il agit tel un sonar. Par des regards et mimiques tout cela est par la suite validé. Cette fois-là la confirmation me fut rapidement obtenue. Je n'avais été dupe de sa froideur ni de son hostilité à mon égard. A juste titre j'en déduisis qu’elle me repoussait d'autant que son attirance vers moi était avérée. Ce jeu du chat et de la souris m'excitait. Elle n'était pas d'une beauté impeccable. Les ans avaient alourdi ses traits et sa silhouette. Cependant elle était de race ...
... et avait du être une fabuleuse pouliche dans sa jeunesse. Si j'étais méchant j'ajouterais que j'avais une prédilection pour les belles ruines. Je sais d’expérience que les femmes de cinquante sont les plus garces. Je n'avais pas froid aux yeux qu'il y eût plus de vingt ans de différence entre nous. Le jeu en valait la chandelle. Mon job avec deux, trois autres comparses étaient de câbler des bureaux pour l'informatique. Bref je côtoyais au quotidien des cols blancs et des femelles. Ce jour-là il eût prise de bec entre elle et moi. Elle ne comprenait pas que notre intervention réclamât des fois la fermeture des ordinateurs. Elle alléguait que dans d'autres emplois, elle avait vu faire et que ma méthode n'était pas la bonne. Mon amour-propre professionnel en prit un coup. Nous disputâmes longtemps et trouvâmes cependant un compromis. Entre temps nous eûmes temps de nous détester. Nous devions bosser dix jours là-bas. Le marché était juteux. Je devais prendre en bonne part ma conne. Chaque soir j’allais lui faire le rapport de la journée et de l’avancement des travaux. Les premiers jours je fis ami avec une jolie blonde que j'attrapais quelquefois le midi dans la camionnette. Ce détail ne dut pas échapper à la pécore car elle m'en fit le reproche direct. Elle dit : « Je vous conseille de ne pas frayer avec le personnel. » Affectant de ne comprendre, je répondis : « Vous savez on a trop d'occupation pour papoter avec ...