1. Corinne à poil (mais pas toute seule)


    Datte: 22/07/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Micky, Source: Hds

    ... précédemment, cette situation n'avait rien pour l'inhiber et apparemment, son amant non plus, à en juger par son érection surgie dès qu'il baissa son pantalon. Corinne et lui était en plein 69 alors que dans le lit d'à côté, Mylène et Nathalie avaient repris leurs halètements de plaisir, quand on frappa à la porte de la chambre. Corinne délaissa à regret le gland qu'elle suçait avec avidité pour ouvrir.
    
    - Salut tout le monde, petits cachottiers. On s'envoie en l'air sans le dire aux copains ? Voilà du renfort, faites-nous un peu de place. Plus on est de fous, plus on rigole, hein ?
    
    Estomaquée, Corinne s'effaça pour laisser entrer Véronique, joviale et déterminée. Elle était suivie de Sandrine, Manuella, Cathy et Magali. Toutes étaient virilement accompagnées de leurs séducteurs respectifs. La chambre, déjà jonchée de vêtements divers, se couvrit à nouveau de slips, de soutiens-gorge, de pantalons, de shorts, de tee shirts, de chaussures diverses et variées. Corinne et Damien durent se pousser pour laisser Sandrine et son amant culturiste, Léopold, s'allonger et reprirent leur 69, aussitôt imités par leurs voisins de lit. Cathy se coucha par terre pour se faire lécher par Mikaël, Véronique fit de même avec le mulâtre Alphonse et Manuella gagna la salle de bains en tenant la main de son chevalier servant, le barbu et chevelu Claudio. Mylène et Nathalie, cette dernière soutenant ses gros nichons, chevauchaient maintenant leur baiseur Alphonse. De temps à autre, elles ...
    ... laissaient la place à Magali qui, posée sur ses pieds, s'empalait avec volupté en faisant coulisser le dard sans se presser mais avec un art consommé de la rotation des hanches. Ses cris rauques se mêlaient aux halètements, soupirs, jappements et pâmoisons qui constituaient l'ambiance auditive de la pièce. Mylène et Nathalie regardaient épatées cette sexagénaire en chignon, au corps tonique, prendre un énorme panard avec le mulâtre Alphonse qui ruait sous elle comme un marteau piqueur inversé.
    
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    Corinne, un temps déstabilisée, réussit à se concentrer sur son plaisir. Elle était maintenant pilonnée par Damien, verrouillé par ses talons, quasiment joue contre joue avec Sandrine. Toutes les deux, comme des siamoises, étaient creusées, fouillées, fouaillées, ripostaient de leur mieux à grands coups de cul, les ongles griffant les flancs de leur amant, clamaient de concert leur joie d'être aussi copieusement baisées, mêlaient leurs cris et leurs halètements. C'était comme si les extases de l'une entrainaient celles de l'autre. Dominateurs et hypertendus, leurs mâles se régalaient. Sandrine et Corinne se montraient aussi rayonnantes, aussi ardentes, aussi soucieuses de leur donner du plaisir sur le petit lit chahuté par leurs coups de boutoir. Elles flattaient leur virilité par quelques mots crus échappés de leurs lèvres en fusion. Les quatre corps étaient si proches que les uns et les autres se mélangeaient dans le même accouplement, parfois la jambe droite Corinne ...
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