Famille déviante (2) - Histoires de Sexe

Famille déviante (2)

... un mouvement de montée et de descente. Elle accéléra au fur et à mesure, sans se presser, et Léo poussa un cri. Il cracha sa semence sur toute sa poitrine. Emilie était toujours partagée entre l’excitation et le dégout de tout ça. Etait-elle tombée si bas ? Elle essuya ses seins avec plusieurs mouchoirs avant d’être saisie aux côtes et jetée sur le lit. Elle s’apprêtait à protester, mais la parole lui manqua quand elle vit le membre viril de Léo de nouveau au garde-à-vous.

Ce dernier se plaça au-dessus d’elle et approcha son membre de son vagin. Il lui écarta les jambes et, s’il ne bavait pas, Emilie savait pertinemment qu’il était à la fois impatient et rempli de désirs qui ne demandaient qu’à être assouvis... Il rentra en un seul coup dans le vagin humide de sa partenaire qui ne put s’empêcher de laisser échapper un long "Aaaaaaah" mélodieux.

Emilie se laissa vite emporter. Il la culbutait avec tant de force, et si vite qu’elle sentit vite l’orgasme monter de nouveau. Elle entoura son bassin avec ses jambes et passa ses bras sous ses épaules tandis qu’il la pilonnait avec ardeur. C’est alors qu’elle le remarqua : il n’avait pas mis de capote.

— Ne jouis... Pas en moi... Pitié... réussit-elle à dire entre ses cris.

Il ne répondit pas et commença à l’embrasser dans le cou, lui mordiller une oreille et caresser ses seins.

— Vous êtes tellement bonne... murmura-t-il.

Il accéléra la cadence et Emilie se sentit venir. Elle poussa un long cri de jouissance. Mais ...

... Léo ne s’arrêta pas. Au contraire, en l’entendant jouir ainsi, il résista pour durer aussi longtemps qu’il le pouvait. Les bras et jambes d’Emilie relâchèrent leurs étreintes et il dut la prendre par le bassin pour continuer ses coups de boutoir. Il tint encore cinq minutes avant de finalement jouir en elle. Jouir à l’intérieur d’elle fut comme le bouquet final. Si tout le reste avait été bon, il trouva cette fin splendide, merveilleuse. Il se sentait comme le mâle dominant, puissant. Elle était sienne. Il voulait que cette femme mûre et canon soit à lui.

— Je t’avais dit de ne pas jouir en moi ! protesta Emilie.

— C’était tellement bon... Pour vous aussi non ? Au pire, vous aurez qu’à prendre la pilule, répondit-il en quittant le lit.

— Je n’en ai pas chez moi ! s’exclama-t-elle.

— J’irai vous en chercher. On sait jamais... Si je reviens un de ces quatre.

— Ne te fais pas d’illusion là-dessus, rétorqua-t-elle.

— Vous pouvez dire ce que vous voulez. Vous avez joui deux fois.

— Et tu en es fier ?

— Pas spécialement, mais cela veut dire que vous n’avez pas détesté. Que vous avez même aimé. Comme quoi, ce n’était pas si terrible que ça.

Emilie était gênée. Léo se rhabillait tranquillement à côté du lit sur lequel était toujours nue.

— Peut-être que j’ai aimé cela oui... hésita-t-elle. Mais c’est mal... Tu as l’âge de mon fils. Tu étais même son ami.

— Perso, baiser la mère d’un pote, j’ai trouvé cela excitant. Tant pis. J’aurais quand même baisé ...