Famille déviante (2) - Histoires de Sexe

Famille déviante (2)

... pour vous baiser, Madame.

Emilie se sentit gênée par cette dernière remarque. Elle devait protéger son fils...

— D’accord... murmura-t-elle.

— Alors pourquoi pas demain ? Vous ne travaillez pas le vendredi, exact ?

Emilie hocha la tête.

— Je vais sécher les cours. Je passerai demain matin vers 11h. Faites-vous belle.

Et il partit sans rien ajouter, laissant Emilie gênée, triste de ce qu’elle venait de faire et d’accepter, et curieuse...

En rentrant, elle rassura Tim qu’ils avaient seulement parlé, que Léo s’était excusé et qu’il ne lui ferait plus jamais rien.

Le lendemain arriva vite. Emilie eut une boule au ventre toute la matinée. Vers 10h45, elle entendit sonner depuis sa chambre. Elle descendit en robe de chambre noire, entièrement nue en dessous et alla ouvrir. Léo se tenait sur le seuil, un grand sourire sur le visage. Il eut les yeux ronds en voyant sa tenue et en devinant sa nudité en dessous.

— Montons dans ma chambre, dit simplement Emilie.

Léo la suivit avec grand plaisir à l’étage. Ils entrèrent silencieusement dans la pièce et Léo referma derrière eux. A peine la porte fut-elle fermée qu’il commença à se dévêtir. Il bandait déjà. Emilie ne put détacher ses yeux de son érection. Au fond d’elle, elle voulait goûter à cette queue...

— Enlevez ça, lança Léo en désignant sa robe de chambre.

Emilie s’exécuta. Elle défit lentement le nœud et ouvrit les pans de sa robe un par un, côté droit, puis gauche avant de la laisser tomber au ...

... sol. Léo les yeux posés sur ses deux gros seins tombant. Il se jeta dessus. Emilie poussa un petit cri devant cette attaque soudaine. Léo les saisit à pleines mains, les comprima, les fit bouger dans divers sens avant d’approcher sa bouche des tétons, de mordiller le premier et de sucer le deuxième. Emilie se sentit honteuse d’éprouver du plaisir, mais ne put retenir ses gémissements. Ils tombèrent sur le lit deux places à baldaquin. Tandis qu’il continuait de sucer ses tétons, Léo glissa une main entre les jambes d’Emilie et lui caressa la chatte. Il augmenta l’intensité de tous ses mouvements, faisait gémir Emilie plus fort. Puis, il délaissa ses seins et se concentra sur sa chatte qu’il se mit à lécher. Emilie n’en pouvait plus. Elle poussa un cri de plaisir et eut le meilleur orgasme qu’elle n’avait pas eu depuis longtemps.

Léo se prit du jus de cyprine dans la figure et comprit qu’il l’avait fait jouir.

Fier de lui, il se redressa, s’allongea sur le lit à côté d’elle.

— C’est à votre tour maintenant, dit-il.

Emilie se releva péniblement, épuisé, s’agenouilla sur le sol entre les jambes de son partenaire et entreprit une fellation délicieuse. Après trois minutes, Léo la supplia presque :

— Utilisez vos seins. Aaaah...

Emilie hésita. Ses seins n’étaient plus très fermes et elle doutait de leur efficacité pour ce que désirait le garçon. Mais néanmoins, elle s’exécuta. Elle prit ses seins dans ses mains et les plaça autour de la bite de Léo avant d’entamer ...