1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l'épouse hypersexuelle : masturbation et hypersexualité.


    Datte: 22/07/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Olga T, Source: Hds

    ... sensible touché, l'envie se fait insoutenable. Ma main gauche caresse mon sein avec impatience, ma main droite branle mon clitoris, jusqu'à atteindre le paroxysme de mon plaisir. Je me retiens, car je ne veux pas encore jouir.
    
    Ma main gauche quitte mon sein pour prendre la main de Philippe. Je serre fort ses doigts, au fur et à mesure de la montée de mon plaisir. Je veux lui offrir ma jouissance.
    
    Il s'est réveillé, me sourit. Il ne sait plus trop quoi faire ! Me laisser continuer ou me prendre ? Philippe est presque pétrifié tant il me désire et tant il trouve ce spectacle magnifique.
    
    J'accélère, il sent que je me lâche, que je me prends au jeu en l'oubliant totalement. Mes mains vibrent sur mon clitoris et de ma bouche sortent des petits gémissements qui le rendent fous.
    
    N'en pouvant plus, il se relève, se met nu à son tour, matant mon corps nu que relève le peu de lumière venue de la rue. Il voudrait plaquer son corps au-dessus du mien pour venir en moi ! Mais je le repousse en lui disant juste :
    
    - Attends, mon amour ! Regarde !
    
    Alors il attend, à genoux à côté de moi, en distinguant mon corps et mes mouvements, en écoutant mon souffle. Son regard est empli d'amour et de désir. Il apprécie mon offrande.
    
    Il prend son sexe dans sa main et lui aussi fait aller et venir doucement son poing le long de son membre tendu.
    
    Philippe connait nos rites. Il sait qu'il doit me laisser me finir, que ce plaisir c'est à lui que je le dédie. Je resserre les cuisses. ...
    ... Mon corps se tend. Je retiens mon souffle jusqu'à rester plusieurs secondes en apnée ! Philippe sait que je vais jouir, que je ne peux plus résister davantage.
    
    Je suis tendue à en exploser. Je m'excite comme une folle sur mon sexe.
    
    Ma main droite se fait encore plus pénétrante en ma minette. On entend les petits clapotis caractéristiques. Je jouis, je jouis, le corps totalement tendu, tremblante, vibrante, dans un râle à la fois profond et aigu.
    
    En fermant les yeux au moment d'exploser enfin, je vois des étoiles par centaines :
    
    - Oh ouiiiii ! Philippe, je t'aime !
    
    C'est seulement à ce moment-là que Philippe vient m'embrasser fougueusement. Il bande très fort, sachant que, dans un instant, je vais enfin m'occuper de lui, que ma bouche va prendre possession de sa verge en érection jusqu'à ce qu'il se vide dans ma bouche, connaissant à son tour un orgasme dévastateur.
    
    EN JOURNEE : UN BESOIN ET UNE THERAPIE DE RESISTANCE
    
    En journée, la fréquence dépend de l'endroit où je me trouve et de la situation sexuelle dans laquelle je suis à ce moment, pour parler clair si je suis plus ou moins en manque.
    
    Il est évident que le besoin de me masturber était particulièrement fréquent quand je voulais nier mon hypersexualité, devenir une épouse fidèle et que je refusais obstinément les invitations candaulistes insistantes de Philippe. Il en a été de même, jusqu'à ces derniers mois, lors de ces périodes que nous appelons de « disette », que nous nous imposons pour réguler ...
«1...345...11»